"La mobilisation sera d’actualité, pour être clair " déclare Philippe Martinez (CGT) en cas de victoire de la droite
Perspective communiste
Le Secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a prévenu dimanche, sur France Inter, que « la mobilisation sera d’actualité » si le programme de la droite en matière sociale devait être appliqué, assurant qu’il était « contesté par les Français »
« Les Français sont contre les thèmes forts du programme de MM. Fillon et Juppé, donc la mobilisation sera d’actualité, pour être clair », a déclaré M. Martinez. Le secrétaire général de la CGT a notamment cité un sondage paru dans le journal Libération indiquant que 64 % des Français étaient contre le recul de l’âge de départ à la retraite à 65 ans.
« ÇA VA BARDER POUR LES SALARIÉS »
« Les gens aujourd’hui s’expriment plus pour un rejet de ce qui existe que pour une perspective », ce qui « ne veut pas dire une adhésion au programme », considère M. Martinez.
Interrogé sur les programmes de la gauche et de la droite, il a estimé que « sur les questions économiques et sociales », c’est « à peu près la même chose ».
Interpellé sur le fait que cela pourrait « barder pour la CGT » en cas de retour de la droite au pouvoir, M. Martinez a répondu : « Ça va surtout barder pour les salariés, et c’est ça qui nous préoccupe. »
Le Monde
« ÇA VA BARDER POUR LES SALARIÉS »
Philippe Martinez : "le rejet (d'un candidat) ne veut pas dire une adhésion au programme" #Primairedroite #QuestionsPol pic.twitter.com/Q002a00Wlc
— France Inter (@franceinter) 27 novembre 2016
« Les gens aujourd’hui s’expriment plus pour un rejet de ce qui existe que pour une perspective », ce qui « ne veut pas dire une adhésion au programme », considère M. Martinez.
Interrogé sur les programmes de la gauche et de la droite, il a estimé que « sur les questions économiques et sociales », c’est « à peu près la même chose ».
Interpellé sur le fait que cela pourrait « barder pour la CGT » en cas de retour de la droite au pouvoir, M. Martinez a répondu : « Ça va surtout barder pour les salariés, et c’est ça qui nous préoccupe. »
Le Monde
