La police kényane a pris d'assaut le siège du Parti Communiste du Kenya
Perspective communiste
Les communistes du Kenya ont besoin du soutien international des organisations sœurs, des partis communistes et ouvriers, et de toutes les forces progressistes et anti-impérialistes.
Le 7 avril au matin, à Nairobi, capitale du Kenya, la police est entrée illégalement dans le siège du Parti communiste et a arrêté plusieurs dirigeants communistes.
Article et traduction Nico Maury
Le 7 avril, siège du Parti Communiste du Kenya à Nairobi a été envahi par la police et des dirigeants communistes ont été arrêté arbitrairement
La police kényane a pénétré par effraction dans le salle forte où le Parti conserve ses archives et documents. L'invasion et les arrestations ont été menées sans mandat judiciaire.
Parmi les personnes arrêtées se trouvait Gitahi Nagunai, membre du Comité central chargé du Département du travail et des coopératives. Des manifestations ont éclaté devant le poste de police peu après l'incident.Les dirigeants communistes sont accusés d'avoir violé les mesures restrictives suite à des protestations anti-gouvernementales.
"Le Parti communiste du Kenya reste un défi pour ces criminels milliardaires qui voudraient étouffer les pauvres, les travailleurs-travailleuses kényans par la famine! Aujourd'hui, nous appelons Uhuru Kenyatta ce qu'ils sont! L'ennemi de la souffrance de nombreux Kényans" déclare le PC du Kenya.
L'agenda anticommuniste et anti-ouvrier s'approfondi à mesure que le mouvement révolutionnaire des masses continue de croître. De nombreux dirigeants africains continuent de jouer consciencieusement leur rôle de marionnette au profit de l'impérialisme, ennemi permanent des peuples africains.
Les camarades ont été libérés sous caution, ils doivent comparaître devant le tribunal vendredi.
La police kényane a pénétré par effraction dans le salle forte où le Parti conserve ses archives et documents. L'invasion et les arrestations ont été menées sans mandat judiciaire.
Parmi les personnes arrêtées se trouvait Gitahi Nagunai, membre du Comité central chargé du Département du travail et des coopératives. Des manifestations ont éclaté devant le poste de police peu après l'incident.Les dirigeants communistes sont accusés d'avoir violé les mesures restrictives suite à des protestations anti-gouvernementales.
"Le Parti communiste du Kenya reste un défi pour ces criminels milliardaires qui voudraient étouffer les pauvres, les travailleurs-travailleuses kényans par la famine! Aujourd'hui, nous appelons Uhuru Kenyatta ce qu'ils sont! L'ennemi de la souffrance de nombreux Kényans" déclare le PC du Kenya.
L'agenda anticommuniste et anti-ouvrier s'approfondi à mesure que le mouvement révolutionnaire des masses continue de croître. De nombreux dirigeants africains continuent de jouer consciencieusement leur rôle de marionnette au profit de l'impérialisme, ennemi permanent des peuples africains.
Les camarades ont été libérés sous caution, ils doivent comparaître devant le tribunal vendredi.