La ville de Cambridge (Massachusetts) veut développer une collaboration avec Cuba
Perspective communiste
Les autorités de la ville américaine de Cambridge (Massachusetts) ont adopté un document appelant à développer une coopération avec Cuba dans le domaine médical pour lutter conjointement contre la pandémie de COVID-19.
Traduction Nico Maury
Le document, approuvé à l'unanimité par le conseil municipal, contient également une demande au gouvernement américain pour lever les sanctions économiques et les restrictions de voyage imposées contre le pays des Caraïbes. Le maire de Cambridge, Sumbul Siddiqi, souligne que la ville abrite certaines des institutions éducatives les plus prestigieuses des États-Unis et que toutes ont désespérément besoin de contacts avec Cuba, un pays doté d'une industrie biopharmaceutique internationalement reconnue.
Plusieurs traitements efficaces contre le COVID-19 sont actuellement utilisés sur l'île, y compris des médicaments fabriqués à Cuba comme la biomoduline T et l'interféron alpha 2B, "qui témoignent une image extrêmement favorable".
Le texte regrette qu'aucun de ces médicaments ne soit disponible aux États-Unis en raison des restrictions constantes et croissantes contre Cuba et que l'importation de ses produits soit bloqués.
La ville de Cambridge et ses institutions, comme l'Université de Harvard, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et l'hôpital de Cambridge, ont une longue histoire d'échanges médicaux et scientifiques, ainsi qu'une collaboration directe avec Cuba.
Le document indique que les habitant.e.s de Cambridge bénéficieront de la coopération et des échanges médicaux entre les États-Unis et Cuba. La ville appelle le Congrès et le président des États-Unis à lever les restrictions d'accès aux services médicaux et à l'expertise biopharmaceutique de Cuba, de suspendre les sanctions économiques et de lever les restrictions de voyage contre l'île.
Plusieurs traitements efficaces contre le COVID-19 sont actuellement utilisés sur l'île, y compris des médicaments fabriqués à Cuba comme la biomoduline T et l'interféron alpha 2B, "qui témoignent une image extrêmement favorable".
Le texte regrette qu'aucun de ces médicaments ne soit disponible aux États-Unis en raison des restrictions constantes et croissantes contre Cuba et que l'importation de ses produits soit bloqués.
La ville de Cambridge et ses institutions, comme l'Université de Harvard, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et l'hôpital de Cambridge, ont une longue histoire d'échanges médicaux et scientifiques, ainsi qu'une collaboration directe avec Cuba.
Le document indique que les habitant.e.s de Cambridge bénéficieront de la coopération et des échanges médicaux entre les États-Unis et Cuba. La ville appelle le Congrès et le président des États-Unis à lever les restrictions d'accès aux services médicaux et à l'expertise biopharmaceutique de Cuba, de suspendre les sanctions économiques et de lever les restrictions de voyage contre l'île.