Le PCF exige la fin du blocus étasunien contre Cuba
Perspective communiste
Paris, le 15 septembre (Prensa Latina) Le secrétaire national du Parti communiste français (PCF), Fabien Roussel, a exigé aujourd'hui des États-Unis de mettre fin à leur hostilité à l'égard de Cuba et a plaidé en faveur d'une campagne européenne pour renforcer cette revendication
En France et en Europe, nous devons exiger que les Etats-Unis retirent leurs mains de Cuba et respectent son peuple, a-t-il déclaré lors d'une interview avec Prensa Latina à la Fête de l'Humanité. Il s'est entretenu dimanche avec le chef de la délégation du pays des Caraïbes, l'intellectuel et député Abel Prieto.
Selon Fabien Roussel, la réunion a permis de mieux connaître les difficultés de Cuba à cause du blocus américain et de son durcissement par le président américain Donald Trump, avec des conséquences économiques négatives prévisibles.
Roussel a jugé très dangereux que Washington ait l'intention d'imposer sa politique unilatérale et extraterritoriale, qui, dans le cas des Grandes Antilles, a pour dernier exemple l'activation, en mai, du titre III de la loi Helms-Burton, visant à empêcher l'accès aux investissements.
Prieto a fourni au dirigeant communiste des précisions sur le nouvel engagement de la Maison-Blanche contre la suffocation économique de l'île.
Dans son dialogue avec Prensa Latina, Roussel a souligné l'importance de tirer parti de la Fête de l'Humanité, pour échanger avec la délégation cubaine sur les questions internationales et l'impact de l'agression américaine.
L’homme politique a réitéré le soutien du PCF à Cuba et a insisté sur l’urgence qu’en plus de la solidarité de diverses organisations, les gouvernements de l’Union européenne, et parmi eux la France, ne doivent pas s’aligner sur les États Unis et exiger le respect de la souveraineté des peuples.
Prensa Latina
Selon Fabien Roussel, la réunion a permis de mieux connaître les difficultés de Cuba à cause du blocus américain et de son durcissement par le président américain Donald Trump, avec des conséquences économiques négatives prévisibles.
Roussel a jugé très dangereux que Washington ait l'intention d'imposer sa politique unilatérale et extraterritoriale, qui, dans le cas des Grandes Antilles, a pour dernier exemple l'activation, en mai, du titre III de la loi Helms-Burton, visant à empêcher l'accès aux investissements.
Prieto a fourni au dirigeant communiste des précisions sur le nouvel engagement de la Maison-Blanche contre la suffocation économique de l'île.
Dans son dialogue avec Prensa Latina, Roussel a souligné l'importance de tirer parti de la Fête de l'Humanité, pour échanger avec la délégation cubaine sur les questions internationales et l'impact de l'agression américaine.
L’homme politique a réitéré le soutien du PCF à Cuba et a insisté sur l’urgence qu’en plus de la solidarité de diverses organisations, les gouvernements de l’Union européenne, et parmi eux la France, ne doivent pas s’aligner sur les États Unis et exiger le respect de la souveraineté des peuples.
Prensa Latina