Le Parlement catalan demande la tenue d'un référendum de souveraineté
Perspective communiste
Par 87 voix les députés catalans (CiU, ERC, ICV-EUiA et 3 PSC) ont demandé un transfert de compétence pour l'organisation du référendum de souveraineté. 43 députés "unionistes" (PP, C's et PSC) ont voté contre
Les voix de la CiU (droite indépendantiste), ERC (gauche républicaine indépendantiste) et ICV-EUiA (coalition écolo-communiste issue de l'ex-PSUC) se sont exprimés en faveur d'un transfert de compétence pour l'organisation du référendum de souveraineté conformément à l'article 150.2 de la Constitution espagnole.
Le Président du groupe parlementaire CiU George Turull déclare que les députés catalans ont "déclenché un mécanisme. " Pour Marta Rovira (ERC) "le gouvernement espagnol doit saisir cette dernière chance" pour clarifier le conflit politique entre l'Espagne et la Catalogne . Le porte-parole d'ICV-EUiA, Dolores Camats explique son groupe a soutenu le OUI au nom "de la démocratie radicale" et que "ce vote ne s'oppose pas notre position qui n'accepte pas l'intégralité de l'accord, aujourd'hui, nous demandons à la communauté internationale de nous soutenir".
Les députés des CUP (Candidatura d'Unitat Popular - gauche radicale indépendantiste) se sont abstenus, Quim Arrufat déclarant "nous n'avons jamais cru à la voie constitutionnelle". "Nous n'avons pas la Constitution de notre côté, et nous nous battons contre , nous n'allons pas attendre sur le quai de la gare nos instruction de Madrid " pour Arrufat . "Ce sera le dernier grand voyage des éléphants".
Le Président du groupe parlementaire CiU George Turull déclare que les députés catalans ont "déclenché un mécanisme. " Pour Marta Rovira (ERC) "le gouvernement espagnol doit saisir cette dernière chance" pour clarifier le conflit politique entre l'Espagne et la Catalogne . Le porte-parole d'ICV-EUiA, Dolores Camats explique son groupe a soutenu le OUI au nom "de la démocratie radicale" et que "ce vote ne s'oppose pas notre position qui n'accepte pas l'intégralité de l'accord, aujourd'hui, nous demandons à la communauté internationale de nous soutenir".
Les députés des CUP (Candidatura d'Unitat Popular - gauche radicale indépendantiste) se sont abstenus, Quim Arrufat déclarant "nous n'avons jamais cru à la voie constitutionnelle". "Nous n'avons pas la Constitution de notre côté, et nous nous battons contre , nous n'allons pas attendre sur le quai de la gare nos instruction de Madrid " pour Arrufat . "Ce sera le dernier grand voyage des éléphants".
Trois députés du PSC ont voté pour l'accord (les députés Marina Geli, Nuria Ventura et Joan Ignasi Elena), malgré les consignes de leur parti. Depuis des mois les remous sont très nombreux au PSC (défaites électorales, position unioniste sur la Catalogne ...) et plusieurs départs important de personnalités ont été signalé.
Pour le bloc "unioniste" (PP et PSC), les premières réactions sont venues du porte-parole du PSC, Lucena Maurici, déclare qu'il ferait le contraire au Royaume-Uni avec l'Ecosse et que le Parlement fait du «théâtre ». Alicia Sanchez Camacho pour le PP (droite conservatrice post-franciste) a déclaré que ce référendum mènera à la «division» et à la frustration. Albert Rivera (C's - libéraux unioniste) déclare que ce débat est incohérent, "Le Congrès (Assemblée nationale espagnole) n'a pas accepté ce référendum, accepterez vous la démocratie ?" conclut Rivera .