Le Parti Communiste de Grèce demande à l'UNESCO de protéger les monuments antifascistes et soviétiques
Perspective communiste
Que ce soit en Ukraine, en Russie, en Pologne, dans les États baltes, en Allemagne, dans les Balkans, les monuments célébrant la lutte antifasciste et le socialisme sont mis à bas.
La guerre impérialiste qui se déroule en Ukraine a accéléré ce processus.
Le Parti Communiste de Grèce demande à l'UNESCO de protéger les monuments antifascistes et soviétiques.
Article et traduction Nico Maury
Les eurodéputés du Parti Communiste de Grève (KKE), Kostas Papadakis et Lefteris Nikolaou-Alavanos, ont rencontré Genc Seiti, directeur de la Division des relations extérieures de l'UNESCO, et Lazare Eloundou Assomo, directeur du Centre du patrimoine mondial de l'UNESCO, à Paris.
Les communistes grecs ont exprimé leur inquiétude sur l'intensification de la destruction des monuments antifascistes et soviétiques dans plusieurs pays européens.
Ils ont demandé que des mesures urgentes soient prises pour les protéger. Une liste des monuments détruits, notamment en Ukraine, en Russie, en Pologne, dans les États baltes, en Allemagne, dans les Balkans, a été remise à l'UNESCO.
Le Parti communiste veut une protection des monuments antifascistes et soviétiques pour protéger la mémoire les luttes des peuples au XXe siècle contre le fascisme et la barbarie capitaliste.
Les communistes grecs ont exprimé leur inquiétude sur l'intensification de la destruction des monuments antifascistes et soviétiques dans plusieurs pays européens.
Ils ont demandé que des mesures urgentes soient prises pour les protéger. Une liste des monuments détruits, notamment en Ukraine, en Russie, en Pologne, dans les États baltes, en Allemagne, dans les Balkans, a été remise à l'UNESCO.
Le Parti communiste veut une protection des monuments antifascistes et soviétiques pour protéger la mémoire les luttes des peuples au XXe siècle contre le fascisme et la barbarie capitaliste.