Le Parti Communiste du Venezuela (PCV) fait son retour à l'Assemblée nationale
Perspective communiste
Le retour des député.e.s du Parti communiste du Venezuela (PCV) à l'Assemblée nationale (ne pas confondre avec l'Assemblée Nationale Constitutionnelle) marque aujourd'hui une nouvelle étape dans le processus de dialogue national pour une coexistence politique pacifique - traduction Nico Maury
Dans le cadre des accords partiels signés entre le gouvernement bolivarien et plusieurs organisations de l'opposition, les député.e.s du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) et de ses alliés du Grand pôle patriotique (GPPSB) ont de nouveaux occupés leurs sièges à l'Assemblée nationale depuis la fin du mois de septembre.
Le Secrétaire général du PCV, Oscar Figuera, a déclaré lors de la séance plénière du Comité central, l'importance de retourner siéger dans l'organe parlementaire pour faire face et démasquer les actions de la droite (majoritaire à l'AN).
Oscar Figuera a reconnu qu'un secteur important de l'opposition vénézuélienne rejette les mesures coercitives imposées par les États-Unis et ses alliés contre de la nation sud-américaine, ainsi que les tentatives d'ingérence dans les affaires internes du Venezuela.
Il a souligné que le retour à l'Assemblée nationale serait fondé sur les principes de "l'opposition aux agressions impérialistes contre le pays", ainsi que sur la défense des droits du peuple vénézuélien, de la classe ouvrière et agricoles, ainsi que d'autres secteurs populaires.
Les élu.e.s communistes soulèveront la nécessité d'aborder la question du mépris de l'entité parlementaire vis à vis de l'Etat, afin de rétablir le statut de l'institution, et de ne pas la réduire à être un forum de discussion.
Le Secrétaire général du PCV, Oscar Figuera, a déclaré lors de la séance plénière du Comité central, l'importance de retourner siéger dans l'organe parlementaire pour faire face et démasquer les actions de la droite (majoritaire à l'AN).
Oscar Figuera a reconnu qu'un secteur important de l'opposition vénézuélienne rejette les mesures coercitives imposées par les États-Unis et ses alliés contre de la nation sud-américaine, ainsi que les tentatives d'ingérence dans les affaires internes du Venezuela.
Il a souligné que le retour à l'Assemblée nationale serait fondé sur les principes de "l'opposition aux agressions impérialistes contre le pays", ainsi que sur la défense des droits du peuple vénézuélien, de la classe ouvrière et agricoles, ainsi que d'autres secteurs populaires.
Les élu.e.s communistes soulèveront la nécessité d'aborder la question du mépris de l'entité parlementaire vis à vis de l'Etat, afin de rétablir le statut de l'institution, et de ne pas la réduire à être un forum de discussion.