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Le Parti communiste congolais dénonce le rôle des États-Unis dans la tentative de coup d'État contre le président Félix Tshisekedi

Perspective communiste

La tentative de coup d'État du 19 mai 2024 en République Démocratique du Congo visait le président Félix Tshisekedi et son ministre de l'Économie Vital Kamerhe, elle est rapidement déjouée par les forces de sécurité.

Le Parti communiste congolais dénonce le rôle des États-Unis dans la tentative de coup d'État contre le président Félix Tshisekedi.

Article Nico Maury

Sylvère Boswa Isekombe, Secrétaire général du Parti communiste congolais (PCCO), a condamné cette attaque et voit derrière ce coup d'État, la main des États-Unis, dont trois ressortissants ont été arrêtés pour leur implication.

"Ces étrangers sont des terroristes" déclare-t-il. "Ils ont sali le symbole de l’État et hissé le drapeau du Zaïre dans le bureau du président de la République. On va les juger devant un tribunal militaire".

Le dirigeant du PCCO révèle des implications internationales inquiétantes. Il estime que Christian Malanga est en lien avec les sociétés militaires aux USA et que plusieurs membres de son commando portaient des passeports étrangers.

Christian Malanga est un ancien officier de l’armée congolaise et leader de la renaissance du mobutisme avec le Parti Congolais Uni (basé à Washington) qui avait immigré aux États-Unis d’Amérique. Son opération est rendue possible avec le concours des britanniques et des américains selon le dirigeant communiste.

Christian Malanga est abattu par la Garde républicaine après avoir réussi à entrer dans le Palais de la Nation.


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