Le Parti communiste du Venezuela dénonce le meurtre d'un autre militant
Perspective communiste
Le Parti communiste du Venezuela (PCV) a dénoncé ce lundi le meurtre de son militant Juan de Dios Hernández dans l'État d'Apure, un état frontalier de la Colombie, moins de trois mois après le meurtre du militant communiste José Urbina.
Article et traduction Nico Maury
"Moins de trois mois après l'assassinat du militant communiste José Urbina, un militant populaire bien connu à Apure, ils ont enlevé et assassiné le camarade Juan de Dios Hernández, un leader social du PCV à Puerto Páez", a déclaré le secrétaire général de l'organisation politique, Óscar Figuera.
Le député communiste a rappelé que Hernández et Urbina, assassinés le 10 janvier, étaient membres de la même cellule du PCV et "ont été tués dans la même ville".
Le PCV a réclamé au ministère public une enquête "exhaustive" sur les homicides de ses militants à l'Apure.
"Nous dénonçons devant l'opinion publique nationale et internationale l'assassinat de nos cadres sans que le ministère public ne fasse de déclaration ni ne mène d'enquête", déclare le parlementaire, qui critique le "silence institutionnel".
Comme dans le cas d'Urbina, on ne sait pas si Hernández avait reçu des menaces en raison de son statut de militant du PCV ou pour toute autre raison.
🔴 #ALERTA A menos de tres meses del homicidio del militante comunista José Urbina, reconocido comunicador popular en #Apure, han secuestrado y asesinado al camarada Juan de Dios Hernández, dirigente social del @PCV_Venezuela en Puerto Páez.
— Oscar Figuera (@OscarFigueraPCV) March 28, 2022
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Le député communiste a rappelé que Hernández et Urbina, assassinés le 10 janvier, étaient membres de la même cellule du PCV et "ont été tués dans la même ville".
Le PCV a réclamé au ministère public une enquête "exhaustive" sur les homicides de ses militants à l'Apure.
"Nous dénonçons devant l'opinion publique nationale et internationale l'assassinat de nos cadres sans que le ministère public ne fasse de déclaration ni ne mène d'enquête", déclare le parlementaire, qui critique le "silence institutionnel".
Comme dans le cas d'Urbina, on ne sait pas si Hernández avait reçu des menaces en raison de son statut de militant du PCV ou pour toute autre raison.