Le candidat d'AKEL qualifié pour le second tour des élections présidentielles à Chypre
Perspective communiste
Le premier tour de l'élection présidentielle s'est déroulé le 5 janvier à Chypre.
Le candidat soutenu par les communistes (AKEL), Andréas Mavroyiánnis, se qualifie pour le second tour avec 29,59% des voix.
Article et traduction Nico Maury
La "surprise" du premier tour de l'élection présidentielle à Chypre est la qualification d'Andreas Mavroyiannis pour le second tour.
L'élection est marquée par une forte participation (72,05%) et par la qualification pour le second tour (12 janvier) de Níkos Khristodoulídis, candidat indépendant soutenu par les partis DIKO (droite), EDEK (social-démocrate), DIPA (centre-droite) et KA (nationaliste), et d'Andréas Mavroyiánnis, candidat indépendant soutenu par AKEL (communiste).
Níkos Khristodoulídis arrive en tête du scrutin avec 32,04% des voix, il affrontera au second tour Andréas Mavroyiánnis qui remporte 29,59% des suffrages.
Avérof Neofýtou (DYSI, centre-droite) termine à la troisième position avec 26,11% des voix.
Chrístos Chrístou (ELAM, extrême droite) remporte 6,04% des voix.
10 autres candidats étaient en lice, leurs résultats oscillent entre 2,05% et 0,04%.
Les communistes d'AKEL ont salué les résultats d'Andreas Mavroyiánnis et l'engagement de "milliers d'électeurs qui ont créé un large front social dans le pays". AKEL soutien l'engagement de Mavroyiánnis, qui "place les intérêts de notre pays au-dessus de toute étiquette partisane. Une candidature globale, qui rassemble des forces qui accordent la plus haute priorité à une solution juste au problème chypriote, au bien-être des citoyens, à la bonne administration et à l'État de droit".
Andreas Mavroyiánnis est un diplomate chypriote, un ancien vice-ministre pour les affaires européennes dans le gouvernement du communiste Dimitris Christofias. En juin 2022, AKEL a désigné Andreas Mavroyiannis comme candidat aux élections présidentielles de la République de Chypre.
L'élection est marquée par une forte participation (72,05%) et par la qualification pour le second tour (12 janvier) de Níkos Khristodoulídis, candidat indépendant soutenu par les partis DIKO (droite), EDEK (social-démocrate), DIPA (centre-droite) et KA (nationaliste), et d'Andréas Mavroyiánnis, candidat indépendant soutenu par AKEL (communiste).
Níkos Khristodoulídis arrive en tête du scrutin avec 32,04% des voix, il affrontera au second tour Andréas Mavroyiánnis qui remporte 29,59% des suffrages.
Avérof Neofýtou (DYSI, centre-droite) termine à la troisième position avec 26,11% des voix.
Chrístos Chrístou (ELAM, extrême droite) remporte 6,04% des voix.
10 autres candidats étaient en lice, leurs résultats oscillent entre 2,05% et 0,04%.
Les communistes d'AKEL ont salué les résultats d'Andreas Mavroyiánnis et l'engagement de "milliers d'électeurs qui ont créé un large front social dans le pays". AKEL soutien l'engagement de Mavroyiánnis, qui "place les intérêts de notre pays au-dessus de toute étiquette partisane. Une candidature globale, qui rassemble des forces qui accordent la plus haute priorité à une solution juste au problème chypriote, au bien-être des citoyens, à la bonne administration et à l'État de droit".
Andreas Mavroyiánnis est un diplomate chypriote, un ancien vice-ministre pour les affaires européennes dans le gouvernement du communiste Dimitris Christofias. En juin 2022, AKEL a désigné Andreas Mavroyiannis comme candidat aux élections présidentielles de la République de Chypre.