Le congrès du PCF doit acter le retour de la faucille et du marteau !
Perspective communiste
Sans débat interne, sans discussion, sans même l’avis du conseil national, la « faucille et le marteau » ont disparu de la nouvelle carte du PCF, remplacés par le logo du Parti de Gauche Européenne (PGE). Les communistes, en congrès, doivent imposer le retour de la faucille et du marteau, NOTRE SYMBOLE
La conférence fédérale du Parti Communiste dans le Rhône a voté à plus de 80% un voeu dénonçant le remplacement de la faucille et du marteau par l’étoile européenne sur la carte. Cette suppression décidée en catimini par la direction nationale en Décembre ne passe pas auprès des adhérents.
Le secrétaire national du Parti communiste, Pierre Laurent, s'en défend. Alors que s'ouvrait jeudi le 36ème congrès du PCF à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), nombre de militants se sont étonnés de la disparition de la faucille et du marteau sur les cartes d'adhérent. "Nous voulons nous tourner vers l'avenir. C'est un sigle qui ne résume pas ce que l'on est aujourd'hui", s'est expliqué dans la foulée le secrétaire national du parti, Pierre Laurent, interrogé par LCI.
Pour les cadres du parti, c'est un faux problème. Et beaucoup s'indignent que le débat se fasse sur sur ce terrain... et éclipse au passage les autres. "Je suis scandalisé. Le Congrès du parti s'ouvre par des interventions de salariés d'entreprises en crise, comme Petroplus, par des dirigeants internationaux qui viennent nous parler des militantes kurdes tuées à Paris, par des discussions sur l'avenir du parti et on parle de sujets comme ça. Je ne commenterai pas des problèmes d'intendance", a ainsi réagi Patrice Bressac, le porte-parole du PCF, contacté par Europe1.fr.
La direction voudra-t-elle passer au forceps ?
Le secrétaire national du Parti communiste, Pierre Laurent, s'en défend. Alors que s'ouvrait jeudi le 36ème congrès du PCF à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), nombre de militants se sont étonnés de la disparition de la faucille et du marteau sur les cartes d'adhérent. "Nous voulons nous tourner vers l'avenir. C'est un sigle qui ne résume pas ce que l'on est aujourd'hui", s'est expliqué dans la foulée le secrétaire national du parti, Pierre Laurent, interrogé par LCI.
Pour les cadres du parti, c'est un faux problème. Et beaucoup s'indignent que le débat se fasse sur sur ce terrain... et éclipse au passage les autres. "Je suis scandalisé. Le Congrès du parti s'ouvre par des interventions de salariés d'entreprises en crise, comme Petroplus, par des dirigeants internationaux qui viennent nous parler des militantes kurdes tuées à Paris, par des discussions sur l'avenir du parti et on parle de sujets comme ça. Je ne commenterai pas des problèmes d'intendance", a ainsi réagi Patrice Bressac, le porte-parole du PCF, contacté par Europe1.fr.
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