Le fasciste vénézuélien Leopoldo López trouve refuge en Espagne
Perspective communiste
L'Espagne, son gouvernement progressiste, vient d'offrir l'asile au putschiste et au fasciste vénézuélien Leopoldo López.
Condamné pour les violences commises en 2015, et qui ont fait 43 morts, Leopoldo López était réfugié dans l'ambassade d'Espagne à Caracas.
Article et traduction Nico Maury
Le fugitif Leopoldo Lopez est arrivé en Espagne ce dimanche.
Samedi, il a quitté la résidence de l'ambassadeur d'Espagne à Caracas, où il s'est réfugié le 30 avril 2019 après avoir participé au coup d'État manqué de Juan Guaidó.
Selon certains de ses collaborateurs, López a quitté le Venezuela pour la Colombie, où il a fait escale à Bogotá, avant d'atterrir en Espagne, comme l'a confirmé le gouvernement espagnol.
Leopoldo López était réfugié à l'ambassade d'Espagne à Caracas, après une évasion de prison en 2019. Le ministre espagnol des Affaires étrangères de l'époque, Josep Borrell (PSC-PSOE), avait déclaré que l' Espagne ne le livrerait pas ce criminel.
En septembre 2015, López a été reconnu coupable des crimes, d'association en vue de commettre un crime et pour avoir causé des dommages et des incendies criminels lors d'actes de violences pendant les manifestations de l'opposition en février 2014, qui ont fait 43 morts.
Samedi, il a quitté la résidence de l'ambassadeur d'Espagne à Caracas, où il s'est réfugié le 30 avril 2019 après avoir participé au coup d'État manqué de Juan Guaidó.
Selon certains de ses collaborateurs, López a quitté le Venezuela pour la Colombie, où il a fait escale à Bogotá, avant d'atterrir en Espagne, comme l'a confirmé le gouvernement espagnol.
Leopoldo López était réfugié à l'ambassade d'Espagne à Caracas, après une évasion de prison en 2019. Le ministre espagnol des Affaires étrangères de l'époque, Josep Borrell (PSC-PSOE), avait déclaré que l' Espagne ne le livrerait pas ce criminel.
En septembre 2015, López a été reconnu coupable des crimes, d'association en vue de commettre un crime et pour avoir causé des dommages et des incendies criminels lors d'actes de violences pendant les manifestations de l'opposition en février 2014, qui ont fait 43 morts.