Le nouveau gouvernement Valls conduit à "l'impasse" (CGT)
Perspective communiste
Le numéro un de la CGT, Thierry Lepaon, a affirmé mardi à l'AFP que la France connaissait une "crise politique majeure" estimant que le nouveau gouvernement Valls conduirait à "l'impasse"
"Il y a une crise politique majeure qui prend ses racines dans la non réponse aux mouvements sociaux", a affirmé M. Lepaon peu avant l'annonce du nouveau gouvernement Manuel Valls.
"Le club des adhérents à la politique dictée par François Hollande est de plus en plus petit et cela amène le pays à des impasses, à la fois économique, politique et sociale", a estimé le leader de la CGT.
Selon lui, le nouveau gouvernement Valls "n'est pas un gouvernement d'avenir". "On ne gère par la France avec seulement ceux qui sont d'accord", a-t-il dit.
La CGT, selon lui, "était un peu seule il y a quelques mois à refuser les politiques d'austérité qui nous mènent dans une impasse" et aujourd'hui "des ministres en exercice ont proposé des solutions alternatives qui s'apparentent en partie à ce qu'on dit depuis plusieurs mois", a affirmé M. Lepaon en allusion aux déclarations des ex-ministres Arnaud Montebourg et Benoît Hamon.
Dans son intervention devant 1'Assemblée générale de rentrée de la CGT, qui s'est tenue mardi, M. Lepaon a estimé que "le gouvernement et le Président de la République apparaissent aujourd'hui isolés dans leur obstination de choix économiques qui mènent à l'impasse".
L'Assemblée générale de la centrale a décidé d'initiatives à la rentrée notamment une journée d'action à la mi-octobre autour du budget de la sécurité sociale. "Il est impossible de laisser le débat se faire à 1'Assemblée nationale sur le financement de la sécurité sociale sans que les salariés interviennent", a-t-il dit.
"Le club des adhérents à la politique dictée par François Hollande est de plus en plus petit et cela amène le pays à des impasses, à la fois économique, politique et sociale", a estimé le leader de la CGT.
Selon lui, le nouveau gouvernement Valls "n'est pas un gouvernement d'avenir". "On ne gère par la France avec seulement ceux qui sont d'accord", a-t-il dit.
La CGT, selon lui, "était un peu seule il y a quelques mois à refuser les politiques d'austérité qui nous mènent dans une impasse" et aujourd'hui "des ministres en exercice ont proposé des solutions alternatives qui s'apparentent en partie à ce qu'on dit depuis plusieurs mois", a affirmé M. Lepaon en allusion aux déclarations des ex-ministres Arnaud Montebourg et Benoît Hamon.
Dans son intervention devant 1'Assemblée générale de rentrée de la CGT, qui s'est tenue mardi, M. Lepaon a estimé que "le gouvernement et le Président de la République apparaissent aujourd'hui isolés dans leur obstination de choix économiques qui mènent à l'impasse".
L'Assemblée générale de la centrale a décidé d'initiatives à la rentrée notamment une journée d'action à la mi-octobre autour du budget de la sécurité sociale. "Il est impossible de laisser le débat se faire à 1'Assemblée nationale sur le financement de la sécurité sociale sans que les salariés interviennent", a-t-il dit.