Le parti le plus corrompu d'Espagne demande l'interdiction du parti anticapitaliste catalan, la CUP
Perspective communiste
Le Parti populaire (PP), formation politique la plus corrompu d'Espagne, par la voix de son Président Pablo Casado, demande l'interdiction du parti catalan indépendantiste de gauche, Candidatura d'Unitat Popular (CUP) - article et traduction Nico Maury
Pablo Casado n'en est pas à sa première énormité (il considère que l'avortement est un crime de masse). Celui qui voulait réserver le même sort que Lluis Companys à Carles Puigdemont (torturé puis fusillé au château de Montjuic à Barcelone le 15 octobre 1940) vient d'annoncer qu'il fallait réformer la "loi des partis" (loi générale encadrant l'activité légale des partis politiques en Espagne) afin de permettre l'exclusion des partis indépendantistes du financement public et permettre l'interdiction de certains comme la CUP, car les dirigeant.e.s de ce parti "encouragent la violence".
Le Parti populaire estime que la CUP encourage les actions des Comités de Défense de la République. Dont les actions ne visent qu'à occuper pacifiquement des routes, des autoroutes, des voies ferrés ...
Pablo Casado continue sa bataille pour écraser l'indépendance. Le chef du Parti populaire a exigé à Pedro Sánchez une nouvelle application de l'article 155 contre la Catalogne.
C'est pourquoi, Pablo Casado a proposé aux sénateurs du PP (c'est le Sénat qui a la main pour déclencher l'article 155 - ndlr) de lancer une nouvelle procédure, souligant que le président espagnol favorise "l'humiliation de toute l'Espagne, avec Pedro Sánchez kidnappé par l'indépendance."
Le Parti populaire estime que la CUP encourage les actions des Comités de Défense de la République. Dont les actions ne visent qu'à occuper pacifiquement des routes, des autoroutes, des voies ferrés ...
Pablo Casado continue sa bataille pour écraser l'indépendance. Le chef du Parti populaire a exigé à Pedro Sánchez une nouvelle application de l'article 155 contre la Catalogne.
C'est pourquoi, Pablo Casado a proposé aux sénateurs du PP (c'est le Sénat qui a la main pour déclencher l'article 155 - ndlr) de lancer une nouvelle procédure, souligant que le président espagnol favorise "l'humiliation de toute l'Espagne, avec Pedro Sánchez kidnappé par l'indépendance."