"Le peuple moldave peut enfin se débarrasser du lourd fardeau qu'est ce gouvernement" (PCRM)
Perspective communiste
Déclaration du Parti des communistes de la République de Moldavie - traduction Nico Maury
Le 13 Février 2013 marquera la date d'un évènement attendu depuis si longtemps par la grande majorité de la société moldave. La coalition, artificiellement formé, appelée «Alliance pour l'intégration européenne", c'est désintégrée.
Dès le premier jour, égermant des cendres de ce funeste 7 avril 2009, s'appuyant sur l'hystérie anti-communiste et la trahison ouverte des intérêts du peuple, l'Alliance, a depuis plus de trois ans torturé le peuple moldave, l'économie, la dignité sociale et démocratiques des citoyens.
Jour après jour, l'Alliance a détruit toutes les voies possibles pour parvenir à un consensus national, a refusé catégoriquement toutes propositions constructives pour résoudre les problèmes croissants et chroniques liées à la crise économique, à la pauvreté croissante et à la corruption. Après le 16 mars 2012, l'Alliance anticonstitutionnelle, via son président soi-disant élu, a établi une nouvelle étape dans l'orgie monstre anti-démocratique, où une poignée de politiciens, ont enjambé les droits fondamentaux et les libertés démocratiques, ont en fait usurpé le pouvoir politique dans le pays, faisant de la République de Moldavie un état de non droit. Les procureurs, les tribunaux, les services de sécurité, les médias, tous étaient entre les mains de quelques individus qui se sont mis au-dessus de la loi et au-dessus du peuple. Seule la réaction de colère et de solidarité de toute la société moldave sur l'incident tragique qui a eu lieu lors de la "chasse royale", a dénoncé un fait sans précédent du pouvoir qui a tenté de couvrir la mort d'un homme. Rien ne peut justifier l'existence encore possible d'un tel pouvoir.
Dans ces circonstances, le Parti communiste estime qu'il est nécessaire de procéder à la décriminalisation de manière urgente la Moldavie, de demander la démission du président du Parlement Marian Lupu, du Premier Vice-Président Vladimir Plahotniuc et tous les autres criminels et complices qui ont participé à cette chasse dans la réserve naturelle de la "Domneasca Padure" et de créer toutes les conditions nécessaires pour la récupération de l'état de droit et du bon fonctionnement des institutions démocratiques. C'est le seul moyen qu'a la population moldave pour enfin se débarrasser du lourd fardeau de l'incompétence du gouvernement et des autorités judiciaires.
Dès le premier jour, égermant des cendres de ce funeste 7 avril 2009, s'appuyant sur l'hystérie anti-communiste et la trahison ouverte des intérêts du peuple, l'Alliance, a depuis plus de trois ans torturé le peuple moldave, l'économie, la dignité sociale et démocratiques des citoyens.
Jour après jour, l'Alliance a détruit toutes les voies possibles pour parvenir à un consensus national, a refusé catégoriquement toutes propositions constructives pour résoudre les problèmes croissants et chroniques liées à la crise économique, à la pauvreté croissante et à la corruption. Après le 16 mars 2012, l'Alliance anticonstitutionnelle, via son président soi-disant élu, a établi une nouvelle étape dans l'orgie monstre anti-démocratique, où une poignée de politiciens, ont enjambé les droits fondamentaux et les libertés démocratiques, ont en fait usurpé le pouvoir politique dans le pays, faisant de la République de Moldavie un état de non droit. Les procureurs, les tribunaux, les services de sécurité, les médias, tous étaient entre les mains de quelques individus qui se sont mis au-dessus de la loi et au-dessus du peuple. Seule la réaction de colère et de solidarité de toute la société moldave sur l'incident tragique qui a eu lieu lors de la "chasse royale", a dénoncé un fait sans précédent du pouvoir qui a tenté de couvrir la mort d'un homme. Rien ne peut justifier l'existence encore possible d'un tel pouvoir.
Dans ces circonstances, le Parti communiste estime qu'il est nécessaire de procéder à la décriminalisation de manière urgente la Moldavie, de demander la démission du président du Parlement Marian Lupu, du Premier Vice-Président Vladimir Plahotniuc et tous les autres criminels et complices qui ont participé à cette chasse dans la réserve naturelle de la "Domneasca Padure" et de créer toutes les conditions nécessaires pour la récupération de l'état de droit et du bon fonctionnement des institutions démocratiques. C'est le seul moyen qu'a la population moldave pour enfin se débarrasser du lourd fardeau de l'incompétence du gouvernement et des autorités judiciaires.
NB : Le scandale de la "chasse royale" est liée à l’accident mortel dont est accusé l’ex-procureur général (membre d’un parti de la coalition gouvernementale) lors d’une partie de chasse à laquelle ont participé plusieurs hauts fonctionnaires en décembre 2012. En plus de l’ouverture d’une enquête pour corruption contre trois ministres proches de Vlad Filat. Véritables malversations ou règlement de compte politique entre « partenaires » de la coalition ? Grâce au partage des portefeuilles et des postes-clés entre les partenaires de l’Alliance, le Parti démocratique exerce une influence considérable auprès du ministère de la Justice. Il n’en fallait pas plus pour que les proches du Premier ministre voient l’ombre de Marian Lupu derrière l’ouverture de cette enquête.
