"Le peuple ne s'arrête pas avant la dictature", les CDR sortent pour dénoncer la répression de l'Etat
Perspective communiste
Des milliers de catalan.e.s remplissent la Plaza de Sant Jaume (Barcelone) pour dénoncer la criminalisation et la persécution policière contre le mouvement indépendantiste, après l'arrestation de dirigeant.e.s des CDR par la Guardia Civil - article et traduction Nico Maury
Les CDR sont une fois dans plus dans les rues ce soir pour répondre à la persécution et à la répression de l'Etat espagnol. Ce matin la Guardia Civil a mené une opération de police pour arrêter deux personnes liées aux Comité de Défense de la République. Elles-Ils sont accusé.e.s de "sédition", "rébellion" et de "terrorisme" pour avoir occupé des pacifiquement routes et ouverts des péages.
A Barcelone, la Plaza Sant Jaume est noire de monde, elles-ils dénoncent cette persécution et la criminalisation du mouvement indépendantiste. Peu avant 20h, plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées sur la place de Santiago avec des drapeaux et des bannières aux cris de "liberté des prisonniers politiques", tou.te.s appelaient au retour du président légitime Carles Puigdemont.
La place de Sant Jaume était remplie de gens de tous âges avec des affiches de "Je suis un CDR" et des chansons contre la police et la justice espagnole étaient déclamée par une foule nombreuse. L'estaca (chant antifasciste de Lluis Llach) était chanté pour dénoncer la répression: "Le peuple ne s'arrête pas avant la dictature".
A Barcelone, la Plaza Sant Jaume est noire de monde, elles-ils dénoncent cette persécution et la criminalisation du mouvement indépendantiste. Peu avant 20h, plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées sur la place de Santiago avec des drapeaux et des bannières aux cris de "liberté des prisonniers politiques", tou.te.s appelaient au retour du président légitime Carles Puigdemont.
La place de Sant Jaume était remplie de gens de tous âges avec des affiches de "Je suis un CDR" et des chansons contre la police et la justice espagnole étaient déclamée par une foule nombreuse. L'estaca (chant antifasciste de Lluis Llach) était chanté pour dénoncer la répression: "Le peuple ne s'arrête pas avant la dictature".