Leonarda : Peillon "affirme sa solidarité" avec Valls
Perspective communiste
C'est un camouflet pour les adhérents de "gôche" du Parti socialiste, en effet leurs ministres les lâchent pour soutenir Valls
Alors qu’il avait semblé attaquer durement Manuel Valls sur l’affaire Leonarda, mercredi dans la cour de l’Elysée, Vincent Peillon s’est défendu vendredi sur Europe 1 de tout désaccord au sein du gouvernement. "J’entends qu’il y aurait des polémiques au gouvernement.
Non ! il y a une politique du gouvernement. C’est celle que nous appliquons ensemble et qu’applique avec fermeté et beaucoup d’humanité par Manuel Valls", a affirmé le ministre de l’Education nationale. "Je soutiens Manuel Valls, je considère que c’est un excellent ministre", a-t-il insisté, avant de se prononcer quant à une éventuelle démission du ministre de l’Intérieur : "certainement pas !", a-t-il tranché.
Vincent Peillon a tout de même rappelé son souhait en matière d’expulsions de mineurs. "Notre pays est généreux, il accueille, c’est un pays de droit. Il y a des gens qui ne le respectent pas, et ils doivent lors être reconduits à la frontière. Mais dans l’application de ces règles, il ya un principe : lorsqu’il s’agit de mineurs, qui ne portent pas la faute des parents, lorsqu’ils sont scolarisés, on n’intervient pas dans le cadre de la scolarité et de la vie scolaire", a édicté le ministre.
Non ! il y a une politique du gouvernement. C’est celle que nous appliquons ensemble et qu’applique avec fermeté et beaucoup d’humanité par Manuel Valls", a affirmé le ministre de l’Education nationale. "Je soutiens Manuel Valls, je considère que c’est un excellent ministre", a-t-il insisté, avant de se prononcer quant à une éventuelle démission du ministre de l’Intérieur : "certainement pas !", a-t-il tranché.
Vincent Peillon a tout de même rappelé son souhait en matière d’expulsions de mineurs. "Notre pays est généreux, il accueille, c’est un pays de droit. Il y a des gens qui ne le respectent pas, et ils doivent lors être reconduits à la frontière. Mais dans l’application de ces règles, il ya un principe : lorsqu’il s’agit de mineurs, qui ne portent pas la faute des parents, lorsqu’ils sont scolarisés, on n’intervient pas dans le cadre de la scolarité et de la vie scolaire", a édicté le ministre.
