Les Comités de défense de la République (CDR) appellent à bloquer la Catalogne
Perspective communiste
L'arrestation de Carles Puigdemont, qui succède au retour et au maintien en prison de nombreux leaders indépendantistes, provoque une vague d'indignation en Catalogne. Des manifestations sont appelées à se rassembler et à occuper tous les axes routiers et autoroutiers stratégiques de Catalogne
En réponse à la répression politique menée par Madrid contre des dirigeant.e.s catalan.e.s et en réaction à l'arrestation de Carles Puigdemont par l'Allemagne (sic), les Comités de défense de la république catalane (CDR) organisent un grand rassemblement à Barcelone. D'autres villes, comme Lleida, Tarragone et Gérone sont concernées.
Les CDR et des syndicats ouvriers (pro-République) se mobilisent pour bloquer la Catalogne à travers une grève générale mais aussi pour bloquer la région à plusieurs endroits stratégiques. Dans la nuit de vendredi à samedi, c'est le poste frontalier de Puigcerdà qui était bloqué.
La frontière avec la France est concernée puisque des points de blocages ont d'ores et déjà été établis. L'autoroute AP-7 à la Jonquera est fortement impacté et des blocages sont en cours, tout comme sur la N-152 à Puigcerdà. Les axes allant vers l'Espagne sont aussi concernés.
A Gérone, les locaux du gouvernement espagnol sont occupés par des manifestant.e.s (le drapeau espagnol ayant été retiré de la façade). Des instructions sont données en cas d'arrestation pour organiser la solidarité de tou.te.s face à la police et aux Mossos.
Les CDR et des syndicats ouvriers (pro-République) se mobilisent pour bloquer la Catalogne à travers une grève générale mais aussi pour bloquer la région à plusieurs endroits stratégiques. Dans la nuit de vendredi à samedi, c'est le poste frontalier de Puigcerdà qui était bloqué.
La frontière avec la France est concernée puisque des points de blocages ont d'ores et déjà été établis. L'autoroute AP-7 à la Jonquera est fortement impacté et des blocages sont en cours, tout comme sur la N-152 à Puigcerdà. Les axes allant vers l'Espagne sont aussi concernés.
A Gérone, les locaux du gouvernement espagnol sont occupés par des manifestant.e.s (le drapeau espagnol ayant été retiré de la façade). Des instructions sont données en cas d'arrestation pour organiser la solidarité de tou.te.s face à la police et aux Mossos.