Les Etats-Unis prêts à discuter, sans préalable, avec la Corée du Nord
Perspective communiste
Le secrétaire d'Etat américain, Rex Tillerson, a déclaré mardi que les Etats-Unis seraient prêts à discuter avec la République Populaire et Démocratique de Corée (dit du Nord), même si elle ne renonce pas à son programme militaire nucléaire - article et traduction Nico Maury
Rex Tillerson annonce que l'objectif de la politique étasunienne reste la dénucléarisation de la péninsule coréenne, il ajoute qu'il n'est "pas réaliste de dire que nous ne nous parlerons que si vous venez à la table des négociations en abandonnant votre programme - nucléaire- . Le président est très conscient de ce sujet."
Les remarques de Tillerson au think tank "Atlantic Council" à Washington surviennent deux semaines après le lancement d'un missile nord-coréen qui pourrait potentiellement transporter une tête nucléaire jusque sur la côte Est-américaine - un nouveau pas dans la poursuite de la menace atomique contre l'adversaire américain que Trump a promis d'empêcher, en utilisant la force militaire si nécessaire.
"Nous sommes prêts à discuter chaque fois que la Corée du Nord voudra parler, nous sommes prêts à avoir une première réunion sans conditions préalables, nous allons nous rencontrer", a déclaré Tillerson. "Et puis nous pouvons commencer à établir une feuille de route."
Le secrétaire d'Etat a dit qu'une "période de calme", sans nouveaux essais nucléaires ou de tirs de missiles, devrait avoir lieu avant que les pourparlers puissent commencer. Cette année, le Nord a mené plus de 20 lancements de missiles balistiques et un essai nucléaire très puissant.
Dans une déclaration de mardi soir, Sarah Sanders, en charge des relations avec la presse pour la Maison Blanche, a déclaré: "Les opinions du président sur la Corée du Nord n'ont pas changé, la Corée du Nord agit dangereusement non seulement contre le Japon, la Chine et la Corée du Sud. Les actions de la Corée ne sont bonnes pour personne et certainement pas bonnes pour la Corée du Nord. "
Les remarques de Tillerson au think tank "Atlantic Council" à Washington surviennent deux semaines après le lancement d'un missile nord-coréen qui pourrait potentiellement transporter une tête nucléaire jusque sur la côte Est-américaine - un nouveau pas dans la poursuite de la menace atomique contre l'adversaire américain que Trump a promis d'empêcher, en utilisant la force militaire si nécessaire.
"Nous sommes prêts à discuter chaque fois que la Corée du Nord voudra parler, nous sommes prêts à avoir une première réunion sans conditions préalables, nous allons nous rencontrer", a déclaré Tillerson. "Et puis nous pouvons commencer à établir une feuille de route."
Le secrétaire d'Etat a dit qu'une "période de calme", sans nouveaux essais nucléaires ou de tirs de missiles, devrait avoir lieu avant que les pourparlers puissent commencer. Cette année, le Nord a mené plus de 20 lancements de missiles balistiques et un essai nucléaire très puissant.
Dans une déclaration de mardi soir, Sarah Sanders, en charge des relations avec la presse pour la Maison Blanche, a déclaré: "Les opinions du président sur la Corée du Nord n'ont pas changé, la Corée du Nord agit dangereusement non seulement contre le Japon, la Chine et la Corée du Sud. Les actions de la Corée ne sont bonnes pour personne et certainement pas bonnes pour la Corée du Nord. "