Les communistes appellent à l'abolition de la monarchie en Suède
Perspective communiste
À l'occasion du 50ᵉ anniversaire du couronnement du roi Carl XVI Gustave de Suède, les communistes du pays ont appelé à l'abolition de la monarchie.
Traduction Nico Maury
Le Parti Communiste de Suède (SKP) et le Parti communiste (K) appellent à abolir la monarchie, une institution dépassée.
Andreas Sorenson du SKP a déclaré à Peoples Dispatch que "la monarchie suédoise est une relique du passé et aujourd'hui, elle n'a que des fonctions représentatives. Cependant, elle répond à un objectif idéologique, dans la mesure où elle invite les gens à s’identifier à elle, et donc à la Suède. Cela permet un patriotisme doux, qui crée un obstacle à la conscience de classe. Les communistes s'opposent à toute forme de pouvoir qui ne découle pas du pouvoir ouvrier et nous rejetons toute forme de pouvoir héréditaire. La monarchie est incompatible avec toute forme de gestion démocratique et devrait être jetée aux poubelles de l’histoire".
Le Parti communiste (K) déclare sur les réseaux sociaux que "la maison royale est une institution antidémocratique et dépassée qui est également très coûteuse. Dans une démocratie, personne ne devrait naître dans un palais !"
Andreas Sorenson du SKP a déclaré à Peoples Dispatch que "la monarchie suédoise est une relique du passé et aujourd'hui, elle n'a que des fonctions représentatives. Cependant, elle répond à un objectif idéologique, dans la mesure où elle invite les gens à s’identifier à elle, et donc à la Suède. Cela permet un patriotisme doux, qui crée un obstacle à la conscience de classe. Les communistes s'opposent à toute forme de pouvoir qui ne découle pas du pouvoir ouvrier et nous rejetons toute forme de pouvoir héréditaire. La monarchie est incompatible avec toute forme de gestion démocratique et devrait être jetée aux poubelles de l’histoire".
Le Parti communiste (K) déclare sur les réseaux sociaux que "la maison royale est une institution antidémocratique et dépassée qui est également très coûteuse. Dans une démocratie, personne ne devrait naître dans un palais !"