Les communistes dénoncent le contrat de vente des rafales à l'Inde
Perspective communiste
Le scandale des rafales ébranle l'Inde et les dernières révélations de François Hollande sur le sujet ont ravivé les tensions. L'opposition parle de 590 millions de roupies de corruption en échange de l'achat de 39 rafales français - article et traduction Nico Maury
Les communistes à la Lok Sabha (Assemblée nationale indienne) mènent une fronde pour obtenir des réponses du gouvernement sur ce sujet.
Pour le CPI(M) il faut constituer une commission d'enquête parlementaire mixte (JPC). "Une commission parlementaire mixte doit être formée sans délai, afin connaitre le rôle du Premier ministre et du gouvernement , et que la vérité soit découverte".
"L'accord rafale s'avère être une arnaque de premier ordre que le gouvernement Modi tente désespérément de dissimuler".
Pour le Parti communiste d'Inde (CPI), le Premier ministre est directement visé. "Le CPI estime que le ministère de la défense essaie encore, sans scrupule, de dissimuler les faits, en expliquant que la déclaration de François Hollande était en cours de vérification."
Le CPI estime que la Cours suprême doit faire son travail et que les véritables coupables ne puissent plus exercer de mandat politique, ni de participer à des élections.
Pour le CPI(M) il faut constituer une commission d'enquête parlementaire mixte (JPC). "Une commission parlementaire mixte doit être formée sans délai, afin connaitre le rôle du Premier ministre et du gouvernement , et que la vérité soit découverte".
"L'accord rafale s'avère être une arnaque de premier ordre que le gouvernement Modi tente désespérément de dissimuler".
Pour le Parti communiste d'Inde (CPI), le Premier ministre est directement visé. "Le CPI estime que le ministère de la défense essaie encore, sans scrupule, de dissimuler les faits, en expliquant que la déclaration de François Hollande était en cours de vérification."
Le CPI estime que la Cours suprême doit faire son travail et que les véritables coupables ne puissent plus exercer de mandat politique, ni de participer à des élections.