Les communistes du Kazakhstan (KNPK) sont sur tous les fronts pour venir en aide à la population
Perspective communiste
Le Parti populaire communiste du Kazakhstan fait parti de ces nombreux Partis communistes qui ne sont pas restés les bras croisés lorsque la pandémie de coronavirus a mis les économies capitalistes en panne.
Face à la situation sociale et économique dégradée au Kazakhstan, le Parti populaire communiste du Kazakhstan a initié le projet "Shapagat". Une immense opération de solidarité à travers le pays pour fournir de l'aide aux personnes vulnérables, dont les élèves.
Article et traduction Nico Maury
La nouvelle année scolaire arrive à grand pas et dans un contexte difficile en raison de la pandémie mondiale. Pour éviter sur l'éducation ne reste qu'un privilège réserve aux élites capitalistes les communistes ont développé un nouveau plan d'action pour soutenir les familles nombreuses et à faible revenu,
Le Parti populaire communiste du Kazakhstan met en œuvre de nombreux projets et actions pour soutenir les familles nombreuses et à faible revenu, les anciens combattants, les retraités nécessiteux, les handicapés et autres personnes socialement vulnérables.
Projet «Shapagat» et campagne «Nous allons à l'école»
Parmi ces actions il y a la campagne «Nous allons à l'école», organisée depuis plusieurs années par le KNPK et le projet populaire «Shapagat». Son objectif est d'aider les familles nécessiteuses à préparer la rentrée scolaire. A ce jour, environ 3500 enfants recevront des kits nécessaires pour l'école.
L'année dernière, la campagne «Nous allons à l'école» était l'une des principales activités du KNPK. Le parti a évité toutes les dépenses inutiles, y compris les cérémonies dédiées a son 15ème anniversaire, a mobilisé les fonds propres, mené un travail de propagande auprès de sponsors et des bénévoles. À cette époque, plus de 5000 enfants à travers le Kazakhstan ont pu recevoir un soutien.
En plus des cartables, des manuels scolaires, des agendas et des cahiers, les enfants ont reçu un ensemble complet d'uniformes scolaires.
Avec la pandémie, l'enseignement à distance s'est développé et les enfants ont besoin non seulement de stylos, de crayons, de cahiers, mais aussi d'ordinateurs, mais aucune famille kazakhe n'a les moyens d'investir dans du matériel informatique. Une centaine d'enfants d'Astana issus de familles socialement vulnérables recevront des ordinateurs au cours de la nouvelle année scolaire.
Le Parti populaire communiste du Kazakhstan met en œuvre de nombreux projets et actions pour soutenir les familles nombreuses et à faible revenu, les anciens combattants, les retraités nécessiteux, les handicapés et autres personnes socialement vulnérables.
Projet «Shapagat» et campagne «Nous allons à l'école»
Parmi ces actions il y a la campagne «Nous allons à l'école», organisée depuis plusieurs années par le KNPK et le projet populaire «Shapagat». Son objectif est d'aider les familles nécessiteuses à préparer la rentrée scolaire. A ce jour, environ 3500 enfants recevront des kits nécessaires pour l'école.
L'année dernière, la campagne «Nous allons à l'école» était l'une des principales activités du KNPK. Le parti a évité toutes les dépenses inutiles, y compris les cérémonies dédiées a son 15ème anniversaire, a mobilisé les fonds propres, mené un travail de propagande auprès de sponsors et des bénévoles. À cette époque, plus de 5000 enfants à travers le Kazakhstan ont pu recevoir un soutien.
En plus des cartables, des manuels scolaires, des agendas et des cahiers, les enfants ont reçu un ensemble complet d'uniformes scolaires.
Avec la pandémie, l'enseignement à distance s'est développé et les enfants ont besoin non seulement de stylos, de crayons, de cahiers, mais aussi d'ordinateurs, mais aucune famille kazakhe n'a les moyens d'investir dans du matériel informatique. Une centaine d'enfants d'Astana issus de familles socialement vulnérables recevront des ordinateurs au cours de la nouvelle année scolaire.
Pendant tout l'été, les centres du projet "Shapagat" ont reçu des demandes de parents pour les aider à acheter un ordinateur, un ordinateur portable, une tablette ou un smartphone. Actuellement, les familles à faible revenu n'ont pas la possibilité d'acheter de tels articles. Mieux encore, le coût de la rentrée scolaire est important. Dès le printemps, ils ont dû économiser de l'argent et demander des prêts.
Cependant, il ne suffit pas de donner des ordinateurs aux personnes dans le besoin, ils doivent télécharger des logiciels, accéder au WI-FI et apprendre aux élèves à travailler avec des programmes, car les connaissances informatiques des gens ordinaires ne sont pas élevées. Dans le même temps, des bénévoles, des informaticiens ont apporté une aide précieuse en s'investissant dans le projet "Shapagat".