Les membres du gouvernement légitime de Catalogne placé.e.s en prison
Perspective communiste
Une juge espagnole a ordonné jeudi le placement en détention provisoire de huit membres du gouvernement catalan destitué, à l'issue de leur comparution dans une enquête pour sédition et rébellion. Ils risquent jusqu'à 30 années de prison
Ils rejoignent les deux premiers prisonniers politiques Jordi Sánchez et Jordi Cuixart.
Oriol Junqueras (ministre de l' Economie et vice-président), Jordi Turull (Président) Raül Romeva (Affaires étrangères), Josep Rull (Territoire), Joaquim Forn (Intérieur), Carlos Mundó (Justice) et Dolors Bassa (travail) , ainsi que Meritxell Borràs (Gouverneur) sont ce soir derrière les barreaux et placés dans des prisons différentes.
Un neuvième, Santi Vila, qui avait démissionné avant la proclamation unilatérale d’indépendance de la Catalogne le 27 octobre, a également été écroué mais sera libéré dès versement d’une caution de 50.000 euros.
Le parquet espagnol a demandé jeudi l'émission d'un mandat d'arrêt européen contre le président catalan Carles Puigdemont et quatre autres ministres, après leur refus de comparaître devant une juge d'instruction madrilène.
Le procureur général a demandé que tous soient inculpés pour détournement de fonds publics, sédition et rébellion. Des chefs d’accusation étant passibles de longues peines d’emprisonnement, entre quinze et trente ans.
Oriol Junqueras (ministre de l' Economie et vice-président), Jordi Turull (Président) Raül Romeva (Affaires étrangères), Josep Rull (Territoire), Joaquim Forn (Intérieur), Carlos Mundó (Justice) et Dolors Bassa (travail) , ainsi que Meritxell Borràs (Gouverneur) sont ce soir derrière les barreaux et placés dans des prisons différentes.
Un neuvième, Santi Vila, qui avait démissionné avant la proclamation unilatérale d’indépendance de la Catalogne le 27 octobre, a également été écroué mais sera libéré dès versement d’une caution de 50.000 euros.
Le parquet espagnol a demandé jeudi l'émission d'un mandat d'arrêt européen contre le président catalan Carles Puigdemont et quatre autres ministres, après leur refus de comparaître devant une juge d'instruction madrilène.
Le procureur général a demandé que tous soient inculpés pour détournement de fonds publics, sédition et rébellion. Des chefs d’accusation étant passibles de longues peines d’emprisonnement, entre quinze et trente ans.
