Liberté pour Oleg Khorzhan ! (PKP)
Perspective communiste
Arrêté pour avoir organisé des manifestions contre les crimes des oligarques qui dirigent la République Moldave du Dniestr (Transnistrie), Oleg Khorzhan est emprisonné depuis une année. Une année où courage, force et résistance font face à des crimes inexistants et à une persécution des communistes
Depuis le 11 juin 2018, exactement un an s'est écoulé depuis que Oleg Khorzhan, député et dirigeant du Parti communiste de Transnistrie, a été arrêté. Cela s'est passé dans l'enceinte du Soviet suprême. Les député.e.s, lâches, levèrent la main quand on leur demanda de donner leur consentement au retrait de l'immunité d'Oleg Horzhan.
Aujourd'hui, Oleg Khorzhan est derrière les barreaux. Le tribunal "le plus humain du monde" de Transnistrie l'a condamné à une peine de quatre ans et demi d'emprisonnement pour des crimes inexistants. Mais en réalité - pour avoir défendu obstinément les droits des gens ordinaires en Transnistrie. Dans le même temps, les véritables coupables des malheurs mènent une vie de luxe - au détriment de la population.
Mais Oleg Horzhan n'est pas brisé. Même emprisonné, il continue de participer à la vie publique, de soutenir moralement ses partisans et ses électeurs.
Le 6 juin, nous proposons de considérer comme un jour de honte, car ce jour-là, il y a un an, la légalité dans notre république a cessé d'exister.
Aujourd'hui, Oleg Khorzhan est derrière les barreaux. Le tribunal "le plus humain du monde" de Transnistrie l'a condamné à une peine de quatre ans et demi d'emprisonnement pour des crimes inexistants. Mais en réalité - pour avoir défendu obstinément les droits des gens ordinaires en Transnistrie. Dans le même temps, les véritables coupables des malheurs mènent une vie de luxe - au détriment de la population.
Mais Oleg Horzhan n'est pas brisé. Même emprisonné, il continue de participer à la vie publique, de soutenir moralement ses partisans et ses électeurs.
Le 6 juin, nous proposons de considérer comme un jour de honte, car ce jour-là, il y a un an, la légalité dans notre république a cessé d'exister.