Les fédérations des Bouches du Rhône du Parti Communiste Français et du Mouvement Jeunes Communistes expriment leur plus vive indignation face à la procédure de licenciement engagée contre Maxime PICARD, syndicaliste CGT au dépôt de Presse d’Aix-en-Provence.

Cette décision est un coup dur pour la liberté syndicale dans notre département. Motivée pour « raisons économiques » elle intervient en effet au moment où Maxime se déclarait prêt à assumer la fonction de délégué du personnel.

Face à l’arbitraire patronal, les communistes et les JC des Bouches-du-Rhône l’assurent de leur entier soutien et saluent le mouvement de solidarité engagé dans son entreprise et dans de nombreux dépôts de France pour empêcher son licenciement.

Maxime PICARD, connu et respecté de tous pour son engagement syndical dans son Union Locale, et politique, dans le département, en tant que secrétaire fédéral des Jeunes Communistes, est un symbole. Son patron entend faire de son licenciement un exemple.

Les communistes et les JC des Bouches-du-Rhône condamnent cette volonté à peine masquée derrière la « crise » et appellent à amplifier la mobilisation pour la mettre en échec.