Nicolas Maduro n'acceptera plus de complot contre la démocratie et la révolution bolivarienne
Perspective communiste
Lundi lors d'une cérémonie dans l'état de Yaracuy, le Président Nicolas Maduro a déclaré qu'il ne accepterait pas les complots, des secteurs qui s'opposent à la Révolution bolivarienne, contre la démocratie vénézuélienne - article et traduction Nico Maury
"Nous arrêterons, nous déferrerons devant la justice, ou nous enverrons en prison ceux qui conspirent" déclare Nicolas Maduro devant le peuple et les forces armées, acteurs pour vaincre les plans déstabilisateurs promues par la droite vénézuélienne. "Je appelle tout le Venezuela, au-delà des différences idéologiques ou politiques, à s'unir pour défendre notre patrie, pour défendre nos enfants ou petits-enfants, avec amour, avec dignité, courage et bravoure".
Nicolas Maduro a demandé au gouvernement des États-Unis de ne plus intervenir dans les affaires internes du Venezuela et a demandé à Obama de faire cessez ses plans pour instaurer le chaos dans notre pays, "Président Obama, je vous ordonne de mettre fin au chaos politique contre le Venezuela. Respectez les normes de la République bolivarienne du Venezuela, parce que nous n'accepterons plus l'ingérence du gouvernement US et les abus de son ambassade ".
Nicolas Maduro déclare que le Venezuela veut de meilleures relations avec les États-Unis, des relations basées sur le respect et que "si la politique du géant du Nord avec le pays sud-américain ne change pas, Obama sera malheureusement chassé du pays et de la région."
En ce qui concerne les prochaines élections législatives, Nicolas Maduro a prévenu l'opposition "parce que nous allons fixer une frontière avec les votes du peuple, nous allons vous donner la plus grande leçon de votre vie".
La droite vénézuélienne derrière une tentative de coup d'état
Le président vénézuélien Nicolás Maduro a annoncé l'arrestation du maire de Caracas, Antonio Ledezma, pour son implication dans la tentative de coup d'État du 12 février. Antonio Ledezma, qui avait signé un communiqué donnant le coup d'envoi du putsch, a été écroué sur ordre du Parquet. Nicolás Maduro a précisé qu'il est accusé d'avoir attenté à la paix, la sécurité et la Constitution vénézuéliennes.
Le président vénézuélien a rappelé la responsabilité du maire de Caracas lors du massacre des étudiants au cours du Caracazo du 17 février 1989 et sa participation au coup d'État de 2002 contre l'ancien président Hugo Chavez.
Nicolás Maduro a expliqué qu'Antonio Ledezma essaye d'utiliser ses fonctions municipales pour déclencher des violences et organiser un coup d'État. Face à cette situation, le leader bolivarien a demandé le soutien du peuple, pour consolider la paix et la justice.
Le document, appelé Accord National pour la Transition, avait également été signé par Leopoldo Lopez (qui purge une peine de prison pour sa responsabilité dans les violences de 2014) et María Corina Machado, impliquée dans des plans d'assassinats de Nicolás Maduro.
Ce texte, qui menaçait les professionnels cubains qui travaillent au Venezuela, prévoyait de suspendre les garanties démocratiques.
Nicolás Maduro a ajouté que la Maison Blanche a donné l'ordre de renverser le gouvernement de Caracas, mais il a assuré que celui-ci dispose du soutien de son peuple et d'une grande partie de la communauté internationale.
Le président vénézuélien Nicolás Maduro a annoncé l'arrestation du maire de Caracas, Antonio Ledezma, pour son implication dans la tentative de coup d'État du 12 février. Antonio Ledezma, qui avait signé un communiqué donnant le coup d'envoi du putsch, a été écroué sur ordre du Parquet. Nicolás Maduro a précisé qu'il est accusé d'avoir attenté à la paix, la sécurité et la Constitution vénézuéliennes.
Le président vénézuélien a rappelé la responsabilité du maire de Caracas lors du massacre des étudiants au cours du Caracazo du 17 février 1989 et sa participation au coup d'État de 2002 contre l'ancien président Hugo Chavez.
Nicolás Maduro a expliqué qu'Antonio Ledezma essaye d'utiliser ses fonctions municipales pour déclencher des violences et organiser un coup d'État. Face à cette situation, le leader bolivarien a demandé le soutien du peuple, pour consolider la paix et la justice.
Le document, appelé Accord National pour la Transition, avait également été signé par Leopoldo Lopez (qui purge une peine de prison pour sa responsabilité dans les violences de 2014) et María Corina Machado, impliquée dans des plans d'assassinats de Nicolás Maduro.
Ce texte, qui menaçait les professionnels cubains qui travaillent au Venezuela, prévoyait de suspendre les garanties démocratiques.
Nicolás Maduro a ajouté que la Maison Blanche a donné l'ordre de renverser le gouvernement de Caracas, mais il a assuré que celui-ci dispose du soutien de son peuple et d'une grande partie de la communauté internationale.