Où est Puigdemont ? L'obsession de la police espagnole
Perspective communiste
Mardi prochain, le Parlement catalan devrait investir Carles Puigdemont Président de la Generalitat. Pour Madrid, il est hors de question qu'il rentre libre chez lui et depuis quelques jours, une chasse à l'homme s'est engagée. Inspections des aérodromes, des égouts dans les environs du Parlement, surveillance des frontières , Carles Puigdemont est devenu l'obsession (risible) de la police espagnole - article et traduction Nico Maury
Carles Puigdemont est devenu une véritable obsession pour la police espagnole. Et la présence éventuelle du Président en exil lors de l'investiture de la semaine prochaine nourrit de vives inquiétudes.
La présence de la Police nationale et de la Guardia civil a été renforcé dans les comtés frontaliers de la Catalogne. De grands contrôles sont observés dans les villes et villages du Val d'Aran, de l'Alt Empordà et du Ripollès.
Sur la chaîne de télévision espagnole Antena 3, le ministre de l’Intérieur Juan Ignacio Zoido a confirmé : “nous renforçons nos frontières pour que Carles Puigdemont ne puisse pas rentrer en Espagne en hélicoptère, en bateau ou dans le coffre d’une voiture”. Le ministre de l’Intérieur assure que toutes “les frontières sont sous contrôle, des chemins de campagne aux aéroports”.
Les mots du ministre montrent la portée de l'opération policière espagnole pour empêcher Puigdemont d'être présent la semaine prochaine au Parlement. Après avoir dépensé 87 millions d'euros pour réprimer le peuple catalan, le gouvernement de Madrid sombre dans une folie paranoïaque risible.
Même les égouts de Barcelone sont scrutés pour s'assurer que le Président ne rentre pas au parlement à travers le réseau d'évacuation des eaux de la ville.
La présence de la Police nationale et de la Guardia civil a été renforcé dans les comtés frontaliers de la Catalogne. De grands contrôles sont observés dans les villes et villages du Val d'Aran, de l'Alt Empordà et du Ripollès.
Sur la chaîne de télévision espagnole Antena 3, le ministre de l’Intérieur Juan Ignacio Zoido a confirmé : “nous renforçons nos frontières pour que Carles Puigdemont ne puisse pas rentrer en Espagne en hélicoptère, en bateau ou dans le coffre d’une voiture”. Le ministre de l’Intérieur assure que toutes “les frontières sont sous contrôle, des chemins de campagne aux aéroports”.
Les mots du ministre montrent la portée de l'opération policière espagnole pour empêcher Puigdemont d'être présent la semaine prochaine au Parlement. Après avoir dépensé 87 millions d'euros pour réprimer le peuple catalan, le gouvernement de Madrid sombre dans une folie paranoïaque risible.
Même les égouts de Barcelone sont scrutés pour s'assurer que le Président ne rentre pas au parlement à travers le réseau d'évacuation des eaux de la ville.
🔴 Segon video d’agents de la Policia Nacional espanyola registrant el clavegueram del Parc de la Ciutadella, dies abans del ple d’investidura al #Parlament. No fos cas que @KRLS Puigdemont entri x aquí. Els agents diuen q estan fent la seva feina pic.twitter.com/Mm8q8qjGky
— Maria Capdevila (@capdevilamaria) 24 janvier 2018