"Pas une minute de trêve pour le gouvernement ultralibéral et néofasciste de Milei" (PCA)
Perspective communiste
Communiqué du Parti Communiste d'Argentine et de la Fédération de la Jeunesse Communiste.
Traduction Nico Maury
L'exécutif dirigé par Le parti La Libertad Avanza (parti de Milei), avec la vice-présidente Victoria Villarruel, du Parti militaire, et en alliance avec Macrismo, entre autres, ne cache pas ses soutiens et ses liens avec des fonds d'investissement, les grandes entreprises multinationales et leurs représentants locaux comme Caputo, Bausili ou Tillard. Ils combattront les protestations sociales en plaçant l'appareil répressif aux mains de Bullrich et Petri. Ils sont alignés sur les intêrets des États-Unis et d'Israël, et leur feuille de route acte l'accord illégitime et illégal avec le FMI, configurant un projet néocolonial qui vient du pillage des ressources naturelles et des biens communs de notre patrie.
Dès son entrée en fonction, le Congrès national recevra un paquet de lois antipopulaires. Ce sera la première bataille dans laquelle les députés et les sénateurs devront démontrer si leur engagement est envers notre peuple ou envers les monopoles.
Le fer de lance de la résistance doit être la classe ouvrière et le mouvement ouvrier dans ses diverses expressions, aux côtés des étudiants, du mouvement féministe et des LGBT, et de tous les secteurs attaqués pour la défense de plus d'un siècle de conquêtes et des droits gagnés pour notre peuple. C’est pourquoi l’unité de la CTA-T, de la CTA-A, des secteurs les plus dynamiques de la CGT et des organisations sociales et populaires contre le pillage, la reddition et la répression est urgente. Nous, communistes, en tant que membres de notre peuple, promouvrons l'unité de ces espaces dans les rues et sur les lieux de travail, d'études et de vie.
Dans ce contexte, la construction d'une alternative politique transformatrice et anti-impérialiste, qui exprime la volonté de notre peuple de résister et de sortir de ce moment de crise de représentation manifestée par la défaite électorale, doit permettre de développer un projet de libération nationale et sociale, un projet qui devient indispensable.
C'est pourquoi nous réaffirmons : Pas une minute de trêve pour le gouvernement ultralibéral et néofasciste de Milei !
Dès son entrée en fonction, le Congrès national recevra un paquet de lois antipopulaires. Ce sera la première bataille dans laquelle les députés et les sénateurs devront démontrer si leur engagement est envers notre peuple ou envers les monopoles.
Le fer de lance de la résistance doit être la classe ouvrière et le mouvement ouvrier dans ses diverses expressions, aux côtés des étudiants, du mouvement féministe et des LGBT, et de tous les secteurs attaqués pour la défense de plus d'un siècle de conquêtes et des droits gagnés pour notre peuple. C’est pourquoi l’unité de la CTA-T, de la CTA-A, des secteurs les plus dynamiques de la CGT et des organisations sociales et populaires contre le pillage, la reddition et la répression est urgente. Nous, communistes, en tant que membres de notre peuple, promouvrons l'unité de ces espaces dans les rues et sur les lieux de travail, d'études et de vie.
Dans ce contexte, la construction d'une alternative politique transformatrice et anti-impérialiste, qui exprime la volonté de notre peuple de résister et de sortir de ce moment de crise de représentation manifestée par la défaite électorale, doit permettre de développer un projet de libération nationale et sociale, un projet qui devient indispensable.
C'est pourquoi nous réaffirmons : Pas une minute de trêve pour le gouvernement ultralibéral et néofasciste de Milei !