Pedro Sánchez (PSOE) et Yolanda Díaz (Sumar) concluent un accord gouvernemental
Perspective communiste
Pedro Sánchez (PSOE) et Yolanda Díaz (Sumar) ont conclu un accord gouvernemental qui prévoit plusieurs dispositions comme la réduction du temps de travail et la hausse du salaire minimal.
Article et traduction Nico Maury
Pedro Sánchez et Yolanda Díaz ont conclu un accord gouvernemental qui comprendra entre autres la réduction de la journée de travail.
Cet accord se veut être un rejet d'un gouvernement de droite et d'extrême droite en Espagne et une affirmation du mandat pour continuer à faire progresser les droits et les libertés.
Enrique Santiago, député communiste et Secrétaire général du PCE, a déclaré sur ses réseaux sociaux que "l'accord programmatique conclu nous permet de continuer à élargir les droits des classes ouvrières et à améliorer la vie du peuple espagnol". Il explique que Sumar continue à travailler "pour obtenir le soutien parlementaire nécessaire pour former un gouvernement de coalition de gauche".
Comme le détaillent les deux formations dans une déclaration commune, le pacte prévoit des "avancées" dans de nombreux domaines :
– Réduction du temps de travail sans réduction de salaire et réglementation des licenciements.
– Renforcer le système de santé publique pour réduire les listes d'attente.
– La révision à la hausse des objectifs de la Loi Climat.
– L’élargissement du congé de naissance payé.
– Une réforme fiscale équitable qui oblige les banques et les grandes entreprises énergétiques à contribuer aux dépenses publiques.
– Développement de la loi sur le logement pour la régulation des loyers.
– Loi sur les soins.
– Réforme du financement des territoires.
– Augmentation du SMI (salaire minimum interprofessionnel) pour ne pas perdre de pouvoir d'achat.
– Abrogation de la loi Gag (loi du bâillon voté par la droite en 2015)
La réduction de la journée de travail était l'un des principaux obstacles à la formation d'un gouvernement entre les deux formations politiques, selon plusieurs sources participant aux négociations. La journée de travail, selon ce qui ressort de ce pacte, serait réduite à 37 heures et demie par semaine.
La ratification de cet accord de gouvernement de coalition progressiste aura lieu aujourd'hui, mardi 24 octobre, à 12h30, au Musée Reina Sofía.
Malheureusement, il manque dedans plusieurs dispositions qui pourraient permettre le ralliement des partis indépendantistes catalans, comme une loi d'amnistie.
Cet accord se veut être un rejet d'un gouvernement de droite et d'extrême droite en Espagne et une affirmation du mandat pour continuer à faire progresser les droits et les libertés.
Enrique Santiago, député communiste et Secrétaire général du PCE, a déclaré sur ses réseaux sociaux que "l'accord programmatique conclu nous permet de continuer à élargir les droits des classes ouvrières et à améliorer la vie du peuple espagnol". Il explique que Sumar continue à travailler "pour obtenir le soutien parlementaire nécessaire pour former un gouvernement de coalition de gauche".
El acuerdo programático alcanzado esta madrugada permite seguir ampliando los derechos de las clases trabajadoras y mejorar la vida de la gente de España.
— Enrique Santiago (@EnriqueSantiago) October 24, 2023
Seguimos trabajando en @sumar por conseguir los apoyos parlamentarios necesarios para un gobierno de coalición de izquierdas. pic.twitter.com/fE3XHXSypo
Comme le détaillent les deux formations dans une déclaration commune, le pacte prévoit des "avancées" dans de nombreux domaines :
– Réduction du temps de travail sans réduction de salaire et réglementation des licenciements.
– Renforcer le système de santé publique pour réduire les listes d'attente.
– La révision à la hausse des objectifs de la Loi Climat.
– L’élargissement du congé de naissance payé.
– Une réforme fiscale équitable qui oblige les banques et les grandes entreprises énergétiques à contribuer aux dépenses publiques.
– Développement de la loi sur le logement pour la régulation des loyers.
– Loi sur les soins.
– Réforme du financement des territoires.
– Augmentation du SMI (salaire minimum interprofessionnel) pour ne pas perdre de pouvoir d'achat.
– Abrogation de la loi Gag (loi du bâillon voté par la droite en 2015)
La réduction de la journée de travail était l'un des principaux obstacles à la formation d'un gouvernement entre les deux formations politiques, selon plusieurs sources participant aux négociations. La journée de travail, selon ce qui ressort de ce pacte, serait réduite à 37 heures et demie par semaine.
La ratification de cet accord de gouvernement de coalition progressiste aura lieu aujourd'hui, mardi 24 octobre, à 12h30, au Musée Reina Sofía.
Malheureusement, il manque dedans plusieurs dispositions qui pourraient permettre le ralliement des partis indépendantistes catalans, comme une loi d'amnistie.