Pour Podemos, une alliance avec le PS espagnol est "possible"
Perspective communiste
Confronté à une chute sévère dans les sondages, à une fonte de ses militants (regroupés dans Ahora en Comun), et une perte de popularité du grand leader Pablo Iglesias, Podemos, par la voix de Inigo Errejón (Secrétaire politique, numéro 2 de Podemos),juge "possible" une alliance avec le Parti socialiste espagnol (PSOE) - article et traduction Nico Maury
Pour le journal La Razon, Podemos courtise le PSOE, compte tenu de la baisse dans les sondages récents, Errejón tend la main à Sanchez de parvenir à un accord de gouvernement après les élections générales.
Pour El Pais, Errejón pense possible un pacte d'alliance avec le PSOE si Sanchez opte pour le changement.
Le numéro 2 de Podemos et secrétaire politique, Inigo Errejón, a déclaré que "il peut y avoir des ententes" entre son parti et le PSOE pour un accord de gouvernement après les élections générales, mais seulement si les socialistes choisissent le «changement politique». En ce sens, Errejón noté que cet accord est possible et que son parti fera "le nécessaire pour le favoriser".
Pour le numéro 2 de Podemos, il y a deux options possibles pour les prochaines élections générales, "le changement OU le maintien des forces politiques qui existent déjà" Néanmoins, Errejón a reconnu qu'il fallait des accords sur un "parlement pluraliste".
Pour El Pais, Errejón pense possible un pacte d'alliance avec le PSOE si Sanchez opte pour le changement.
Le numéro 2 de Podemos et secrétaire politique, Inigo Errejón, a déclaré que "il peut y avoir des ententes" entre son parti et le PSOE pour un accord de gouvernement après les élections générales, mais seulement si les socialistes choisissent le «changement politique». En ce sens, Errejón noté que cet accord est possible et que son parti fera "le nécessaire pour le favoriser".
Pour le numéro 2 de Podemos, il y a deux options possibles pour les prochaines élections générales, "le changement OU le maintien des forces politiques qui existent déjà" Néanmoins, Errejón a reconnu qu'il fallait des accords sur un "parlement pluraliste".
