Pour l'OEA, les troubles sociaux en Amérique Latine sont le fait des "dictatures bolivarienne et cubaine"
Perspective communiste
Le capitalisme, l'impérialisme, le fascisme, la pauvreté, le néolibéralisme, l'austérité, les coups d'états ... ne sont en rien des facteurs de troubles démocratiques en Amérique Latine selon l’Organisation des États Américains. Le problème vient des affreuses dictatures venues du Venezuela et de Cuba - article et traduction Nico Maury
"Les courants actuels de déstabilisation des systèmes politiques du continent trouvent leur origine dans la stratégie des dictatures bolivarienne et cubaine, qui cherchent à se repositionner, non pas par un processus institutionnel et de nouvelle démocratisation, mais par leur ancienne méthodologie d'exportation de polarisation et de mauvaises pratiques, mais essentiellement via la financement, le soutien et la promotion des conflits politiques et sociaux." peut-on lire dans un très sérieux communiqué de l'Organisation des États Américains.
Pour cette officine de l'impérialisme Étasunien, le Venezuela et Cuba entraînent "déstabilisation, violence, trafic de drogue, mort et corruption."
Ainsi la crise en Equateur s'explique par "financement de campagnes politiques par la dictature vénézuélienne" et non par les choix politiques néolibéraux du gouvernement de Lenin Moreno, où par l'usage de la violence contre les manifestations.
En conclusion, "le Secrétariat général de l'OEA réaffirme son obligation de protéger les principes démocratiques et les droits de l'homme, et de les défendre lorsqu'ils sont menacés", c'est à dire que l'OEA légitimera les coups d'état, la violence des groupes putschistes et les blocus contre le Venezuela et Cuba.
Pour lire le communiqué de l'OEA
Pour cette officine de l'impérialisme Étasunien, le Venezuela et Cuba entraînent "déstabilisation, violence, trafic de drogue, mort et corruption."
Ainsi la crise en Equateur s'explique par "financement de campagnes politiques par la dictature vénézuélienne" et non par les choix politiques néolibéraux du gouvernement de Lenin Moreno, où par l'usage de la violence contre les manifestations.
En conclusion, "le Secrétariat général de l'OEA réaffirme son obligation de protéger les principes démocratiques et les droits de l'homme, et de les défendre lorsqu'ils sont menacés", c'est à dire que l'OEA légitimera les coups d'état, la violence des groupes putschistes et les blocus contre le Venezuela et Cuba.
Pour lire le communiqué de l'OEA