Pour la deuxième fois en 6 mois, les Grecs ont dit NON à l’austérité
Perspective communiste
Communiqué du Mouvement des jeunes communistes (MJCF)
A l’heure où nous écrivons, les premiers résultats sur le référendum grec commencent à tomber. Si rien ne change on s’oriente vers une claire victoire du NON aux propositions faites par la Troïka, c’est donc un nom franc aux politiques barbares d’austérité.
Rappelons que ces mesures, appliquées depuis 5 ans ont non seulement fait augmenter la dette et produit un désastre: 60% de chômage des jeunes, 30% des entreprises fermées, des salaires divisés par deux…
Le non grec est un non aux logiques patronales, aux logiques promues par une Union européenne au service du capital. C’est un message de dignité, de combativité, et d’espoir du peuple grec qui dépasse les frontières du pays et qui s’adresse à tous les peuples d’Europe. Pendant la campagne, un vrai débat sur les institutions européennes s’est lancé sur notre continent. D’un côté les forces de droite et sociales-démocrates épaulées du patronat, et des grands médias, de l’autres les communistes, les progressistes et les syndicalistes. Europe du capital contre Europe des peuples en somme.
Certains n’ont pas hésité, comme le président du Parlement socialiste allemand Schulz à demander l’instauration d’un gouvernement de technocrates, comme ce fut le cas déjà dans de nombreux pays. Nos dirigeants ont montré leur vrai visage, celui du mépris du peuple et de toute démocratie en Europe. Pour le ministre Macron, dont sa loi va détruire l’Etat social français, il faudrait que Grecs et Français continuent les « efforts », symbole s’il en est du projet des classes dirigeantes européennes.
Nous apprenons également que demain François Hollande et Angela Merkel vont se réunir pour décider des conséquences du référendum. Ils n’ont donc retenu aucune leçon de ce vote, ni du référendum français de 2005. Les peuples ne veulent pas de politiques d’austérité antisociales !
Il faut urgemment entendre la voix du peuple grec, de sa jeunesse qui veut construire son avenir, des peuples de toute l’Europe pour rompre avec l’Europe du capital et reconstruire une Europe des peuples, qui permettent l’émancipation, la solidarité, le progrès et la coopération. Le vote du peuple grec sera un point d’appui pour tous les progressistes du continent pour aller dans ce sens.
Pour paraphraser le poète Paul Eluard, « Peuple grec », tu es, ce soir, « à jamais maître de tes désirs » !
Rappelons que ces mesures, appliquées depuis 5 ans ont non seulement fait augmenter la dette et produit un désastre: 60% de chômage des jeunes, 30% des entreprises fermées, des salaires divisés par deux…
Le non grec est un non aux logiques patronales, aux logiques promues par une Union européenne au service du capital. C’est un message de dignité, de combativité, et d’espoir du peuple grec qui dépasse les frontières du pays et qui s’adresse à tous les peuples d’Europe. Pendant la campagne, un vrai débat sur les institutions européennes s’est lancé sur notre continent. D’un côté les forces de droite et sociales-démocrates épaulées du patronat, et des grands médias, de l’autres les communistes, les progressistes et les syndicalistes. Europe du capital contre Europe des peuples en somme.
Certains n’ont pas hésité, comme le président du Parlement socialiste allemand Schulz à demander l’instauration d’un gouvernement de technocrates, comme ce fut le cas déjà dans de nombreux pays. Nos dirigeants ont montré leur vrai visage, celui du mépris du peuple et de toute démocratie en Europe. Pour le ministre Macron, dont sa loi va détruire l’Etat social français, il faudrait que Grecs et Français continuent les « efforts », symbole s’il en est du projet des classes dirigeantes européennes.
Nous apprenons également que demain François Hollande et Angela Merkel vont se réunir pour décider des conséquences du référendum. Ils n’ont donc retenu aucune leçon de ce vote, ni du référendum français de 2005. Les peuples ne veulent pas de politiques d’austérité antisociales !
Il faut urgemment entendre la voix du peuple grec, de sa jeunesse qui veut construire son avenir, des peuples de toute l’Europe pour rompre avec l’Europe du capital et reconstruire une Europe des peuples, qui permettent l’émancipation, la solidarité, le progrès et la coopération. Le vote du peuple grec sera un point d’appui pour tous les progressistes du continent pour aller dans ce sens.
Pour paraphraser le poète Paul Eluard, « Peuple grec », tu es, ce soir, « à jamais maître de tes désirs » !
