Pour les étudiants ukrainiens la victoire des putschistes de EuroMaïdan laissera un gout amère
Perspective communiste
Certains d'entre eux ont été des activistes du mouvement néonazis de EuroMaïdan à Kiev, ils se sont battus soi-disant pour la liberté, l'Europe toussa toussa, ils ont eu droit à une tribune dans un syndicat étudiant en France lors d'un "Collectif national" et pourtant la victoire des putschistes de EuroMaïdan laissera un gout amère pour ces étudiants que l'on veut nous faire croire "progressistes" - article et traduction Nico Maury
Serhiy Ack, ministre putschiste de l'enseignement, adhérent du parti néonazi "Svoboda" vient d'annoncer à Golos.ua sont plan d'action pour réformer l'Université en Ukraine. Ce ministre néonazi, porté par les putschistes de EuroMaïdan, déclare :
"Qu'il y a en Ukraine un nombre disproportionné d' établissements d'enseignement supérieur" et que "l'économie ukrainienne ne peut pas se permettre de maintenir un tel nombre d'universités".
Il annonce sur Golos.ua que les solutions apporté seront :
- "Réduire le nombre d'universités de 15 à 5", mais comme c'est un gentil néonazi démocrate et pacifique il rajoute que ça se fera de manière "non bureaucratique".
- "Élaborer des critères de qualité pour les universités en établissant des mécanismes de concurrence entre elles".
Pour les étudiants les lendemains sont amères puisqu'ils ont obtenu :
1- Un ministre réactionnaire néonazi de Svoboda
2- La suppression de 2/3 des universités
3- La concurrence entre elles
4- (Oserai-je) la fin du cadrage ukrainien (ou national) des diplômes
Voilà lorsqu'on se réclame de l'internationalisme on n'invite pas a une tribune des personnes qui sèment derrières elles, terreur, réaction, violences et fascisme.
"Qu'il y a en Ukraine un nombre disproportionné d' établissements d'enseignement supérieur" et que "l'économie ukrainienne ne peut pas se permettre de maintenir un tel nombre d'universités".
Il annonce sur Golos.ua que les solutions apporté seront :
- "Réduire le nombre d'universités de 15 à 5", mais comme c'est un gentil néonazi démocrate et pacifique il rajoute que ça se fera de manière "non bureaucratique".
- "Élaborer des critères de qualité pour les universités en établissant des mécanismes de concurrence entre elles".
Pour les étudiants les lendemains sont amères puisqu'ils ont obtenu :
1- Un ministre réactionnaire néonazi de Svoboda
2- La suppression de 2/3 des universités
3- La concurrence entre elles
4- (Oserai-je) la fin du cadrage ukrainien (ou national) des diplômes
Voilà lorsqu'on se réclame de l'internationalisme on n'invite pas a une tribune des personnes qui sèment derrières elles, terreur, réaction, violences et fascisme.