Présidentielle : un sondage donne Emmanuel Macron à un point de Marine Le Pen
Perspective communiste
Le candidat du patronat et du système financier a le vent en poupe, c'est ce qu'indique un sondage Opinionway/Orpi pour Les Echos et Radio Classique publié mercredi. Les deux candidats de "gauche" Hamon (PS) et Mélenchon (FI/PG) sont lourdement disqualifiés
Le candidat d'"En Marche !" Emmanuel Macron est crédité de 24% des intentions de vote pour le premier tour de l'élection présidentielle, devancé seulement d'un point par Marine Le Pen.
Avec 25%, la candidate du Front national perd un point mais reste en tête des intentions de vote. Le candidat de la droite François Fillon est lui en troisième position (21%, stable), devant le candidat socialiste Benoît Hamon (16%, +1), celui de "La France insoumise" Jean-Luc Mélenchon (11%).
35% des sondés ne se disent pas (11%) ou peu intéressé (24%) par la campagne présidentielle
Des attentes très sociales
Les attentes des sondés sont très intéressantes, car à cette heure les guéguerres sur la question européenne (qui divise Hamon et Mélenchon) les gens s'en tapent (16%). Si cette question est pourtant essentielle, elle n’apparaît pas dans les priorités des sondés car concernent essentiellement les initiés et les militants politiques.
Ni Hamon (16%), ni Mélenchon (11%) ne parviennent à convaincre et la dynamique de la France insoumise est cassée. Ce qui est inquiétant c'est l'effet Macron, comment un candidat ultralibéral, issue de la haute banque (Rothschild) et issue d'un gouvernement socialiste peut être si haut ?
Avec 25%, la candidate du Front national perd un point mais reste en tête des intentions de vote. Le candidat de la droite François Fillon est lui en troisième position (21%, stable), devant le candidat socialiste Benoît Hamon (16%, +1), celui de "La France insoumise" Jean-Luc Mélenchon (11%).
35% des sondés ne se disent pas (11%) ou peu intéressé (24%) par la campagne présidentielle
Des attentes très sociales
Les attentes des sondés sont très intéressantes, car à cette heure les guéguerres sur la question européenne (qui divise Hamon et Mélenchon) les gens s'en tapent (16%). Si cette question est pourtant essentielle, elle n’apparaît pas dans les priorités des sondés car concernent essentiellement les initiés et les militants politiques.
Ni Hamon (16%), ni Mélenchon (11%) ne parviennent à convaincre et la dynamique de la France insoumise est cassée. Ce qui est inquiétant c'est l'effet Macron, comment un candidat ultralibéral, issue de la haute banque (Rothschild) et issue d'un gouvernement socialiste peut être si haut ?
1- la base sondée est plus importante, 1629 personnes inscrites sur les listes électorales issu d’un échantillon de 1685 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La marge d'erreur est moindre que sur les sondages ayant des bases à 1000 personnes (voir 600), même si cette dernière est comprise, selon Opinionlab, entre 1,1 à 2,5.
2- 3 vagues de sondages sur 3 jours (26 février, 27 février et 28 février 2017) qui correspond à un "avant annonce Fillon".
3- l'utilisation d'une norme ISO 20252, version 2.0 de la norme ISO 9001 ( *).