Retraites: le PS prévoit de passer en force selon le député PS Michel Issindou
Perspective communiste
Au moins on saura (savais dans mon cas) que l'"opposition" à Sarkozy du Parti "socialiste" sur les retraites n'était qu'une farce pour juste retrouver les bonnes places du pouvoir
« C’est une réforme d’ampleur. Nous aurions tort de faire une réforme au rabais » a déclaré le député PS Michel Issindou, probable rapporteur du projet de loi sur les retraites, précisant que le gouvernement envisageait de le déposer « dans la deuxième quinzaine de septembre », pour qu’il soit débattu dans l’hémicycle « en septembre-octobre ».
« Il y aura des tensions, je pense que ce sera dur, il y aura des mouvements dans la rue, mais par rapport à 2010 (précédente réforme des retraites), l’opinion publique est plus prête à entendre les choses » a expliqué le probable futur rapporteur.
« De toute façon, nous allons être impopulaires avec cette réforme, et tant qu’à l’être, autant faire des choses utiles pour l’avenir (...), qu’au moins nous allions au fond des choses » a-t-il ajouté. Ainsi « nous n’échapperons pas à un allongement de la durée de cotisation, car c’est la mesure qui produit le plus d’effets à terme », a souligné le député de l’Isère. Mais « en maintenant l’âge légal (de départ) à 62 ans, nous laissons une porte de sortie » a-t-il précisé.
Par ailleurs, « il y a un autre sujet qui fera débat, c’est celui du rapprochement public-privé. Il faut crever l’abcès et nous ne réussirons pas si nous ne passons pas par cette phase-là », a-t-il affirmé.
« Il y aura des tensions, je pense que ce sera dur, il y aura des mouvements dans la rue, mais par rapport à 2010 (précédente réforme des retraites), l’opinion publique est plus prête à entendre les choses » a expliqué le probable futur rapporteur.
« De toute façon, nous allons être impopulaires avec cette réforme, et tant qu’à l’être, autant faire des choses utiles pour l’avenir (...), qu’au moins nous allions au fond des choses » a-t-il ajouté. Ainsi « nous n’échapperons pas à un allongement de la durée de cotisation, car c’est la mesure qui produit le plus d’effets à terme », a souligné le député de l’Isère. Mais « en maintenant l’âge légal (de départ) à 62 ans, nous laissons une porte de sortie » a-t-il précisé.
Par ailleurs, « il y a un autre sujet qui fera débat, c’est celui du rapprochement public-privé. Il faut crever l’abcès et nous ne réussirons pas si nous ne passons pas par cette phase-là », a-t-il affirmé.
