Romain Marchand élu Secrétaire général des élus communistes (ANECR)
Perspective communiste
Premier adjoint au maire d’Ivry, Romain Marchand a été élu secrétaire national de l’ANECR (Association nationale des élus communistes et républicains)
Il assurait déjà la fonction depuis 2015 à l’échelle du Val-de-Marne, voilà qu’il endosse la responsabilité pour la France entière.
Romain Marchand (PCF) est désormais secrétaire général de l’Association nationale des élus communistes et républicains. Il a été élu ce week-end à Saint-Etienne (Loire), à l’occasion du 18ème congrès de l’ANECR. Le 1er adjoint d’Ivry-sur-Seine, par ailleurs vice-président du territoire Grand-Orly Val-de-Bièvre Seine-Amont (T12), a donc été sacré numéro 2 de l’association, notamment soutenu sur place par Philippe Bouyssou, maire d’Ivry, et Fabien Guillaud-Bataille, chef de file du PCF 94. Après deux ans de mandat, Dominique Adenot, maire de Champigny, a laissé la présidence de l’ANECR à Patrick Bessac, maire de Montreuil (Seine-Saint-Denis).
Au travers de la campagne « Commune debout », la nouvelle équipe se donne pour mission de préserver les communes de France, « aussi bien en zone urbaine que rurale », « face à la tentation d’une technocratisation qui éloigne les citoyens des centres de décisions ».
Le Parisien
Romain Marchand (PCF) est désormais secrétaire général de l’Association nationale des élus communistes et républicains. Il a été élu ce week-end à Saint-Etienne (Loire), à l’occasion du 18ème congrès de l’ANECR. Le 1er adjoint d’Ivry-sur-Seine, par ailleurs vice-président du territoire Grand-Orly Val-de-Bièvre Seine-Amont (T12), a donc été sacré numéro 2 de l’association, notamment soutenu sur place par Philippe Bouyssou, maire d’Ivry, et Fabien Guillaud-Bataille, chef de file du PCF 94. Après deux ans de mandat, Dominique Adenot, maire de Champigny, a laissé la présidence de l’ANECR à Patrick Bessac, maire de Montreuil (Seine-Saint-Denis).
Au travers de la campagne « Commune debout », la nouvelle équipe se donne pour mission de préserver les communes de France, « aussi bien en zone urbaine que rurale », « face à la tentation d’une technocratisation qui éloigne les citoyens des centres de décisions ».
Le Parisien