Scandaleux : Face à la contestation, Fillon en visite à Marseille opte pour les vieilles méthodes
Nicolas Maury
Communiqué de presse des Jeunesses Communistes 13
Avant même de pouvoir parvenir sur les lieux, alors qu'ils s'apprêtaient à prendre le métro à Castellane, deux groupes d'étudiants totalisant 36 personnes parmi lesquelles plusieurs Jeunes Communistes, ont été ceinturés par les forces de l'ordre puis embarqués au commissariat de l'Évêché.
Rivalisant d'incohérence et parfois frisant le ridicule, les policiers les ont accusés d'avoir eut l'intention d'organiser des manifestations sauvages dans le métro (alors ils portaient leurs banderoles enroulées) voire même d'intentions terroristes (certains s'étaient munis d'œufs !).
Chacune des personnes arrêtées a dû faire face dans les auditions individuelles imposées par la police, à des tentatives d'intimidation avant d'être relâchées eut égard à l'absence du moindre motif sérieux pour les placer en garde à vue.
Plutôt que d'entendre la voix de la jeunesse Marseillaise, le Premier ministre a donc choisi de la faire bâillonner, ce sont des méthodes indignes d'un pays démocratique et les Jeunes Communistes des Bouches-du-Rhône les condamnent fermement.
Face à de telles pratiques, les Jeunes Communistes des Bouches-du-Rhône, loin de céder à l'intimidation entendent bien, redoubler d'efforts pour mobiliser la jeunesse contre la casse du service public de l'éducation engagée méthodiquement par le gouvernement en place.
Plutôt que d'entendre la voix de la jeunesse Marseillaise, le Premier ministre a donc choisi de la faire bâillonner, ce sont des méthodes indignes d'un pays démocratique et les Jeunes Communistes des Bouches-du-Rhône les condamnent fermement.
Face à de telles pratiques, les Jeunes Communistes des Bouches-du-Rhône, loin de céder à l'intimidation entendent bien, redoubler d'efforts pour mobiliser la jeunesse contre la casse du service public de l'éducation engagée méthodiquement par le gouvernement en place.