Solidarité de la FSM avec la classe ouvrière guyanaise
Perspective communiste
Pour la CSI (Confédération syndicale internationale) et la CSE (Confédération européenne des syndicats) les luttes sociales en Guyane n'existent pas. Ces organisations réformistes préfèrent s'aligner sagement derrière les institutions. Seule la Fédération syndicale mondiale (FSM), qui rassemble les syndicats de classe, soutien la lutte des guyanais
La Fédération Syndicale Mondiale, représentant 92 millions d’ouvriers dans 126 pays différents, réitère sa solidarité et son soutien internationaliste au peuple de Guyane qui continue sa grève générale pour obtenir un plan d’aide de 2,5 milliards d’euros par le gouvernement français.
La situation du pays, qui souffre par la pauvreté et l’ignorance de l’État français officiel, est dramatique. De cette façon, les syndicats et les organisations des travailleurs du pays ont décidé de poursuivre leur grève générale, en dépit des pressions du gouvernement français qui, à travers de la Ministre des Outre-Mer, a demandé aux collectifs de mettre fin à la grève « pour que les entreprises fonctionnent à nouveau », en même temps que le plan promis par le gouvernement ne supère pas le montant d’1,085 milliard d’euros.
Nous, en tant que FSM, nous ajoutons notre voix à celle des grévistes guyanais qui ont signalé qu’ils vont rester « mobilisés et déterminés », jusqu’à la satisfaction de leurs justes revendications.
La situation du pays, qui souffre par la pauvreté et l’ignorance de l’État français officiel, est dramatique. De cette façon, les syndicats et les organisations des travailleurs du pays ont décidé de poursuivre leur grève générale, en dépit des pressions du gouvernement français qui, à travers de la Ministre des Outre-Mer, a demandé aux collectifs de mettre fin à la grève « pour que les entreprises fonctionnent à nouveau », en même temps que le plan promis par le gouvernement ne supère pas le montant d’1,085 milliard d’euros.
Nous, en tant que FSM, nous ajoutons notre voix à celle des grévistes guyanais qui ont signalé qu’ils vont rester « mobilisés et déterminés », jusqu’à la satisfaction de leurs justes revendications.