Sommet sur le climat / ONU : "Les racines du problème viennent du système capitaliste" (Evo Morales)
Perspective communiste
Le Président socialiste de Bolivie a une nouvelle fois démontré que le capitalisme est la cause de toutes les souffrances dans le monde : changement climatique, pauvreté, chômage, guerre, migration, faim, inégalité ... - article et traduction Nico Maury
Le président bolivien, Evo Morales, a déclaré mardi que les multiples problèmes qui affligent la planète ont leurs racines dans le système capitaliste, ce dernier favorise la répartition inégale des richesses et l'accumulation insensée de biens et de l'argent entre les mains de quelques personnes.
"Disons-le très clairement: le capitalisme est à l'origine du problème" déclare le président bolivien dans son discours à la 74ème Assemblée générale des Nations Unies, qui a débuté ses travaux mardi.
Il explique que "le problème sous-jacent réside dans le modèle de production et de consommation, dans la propriété des ressources naturelles et dans la distribution inégale de la richesse". Le président évoque les problèmes qui affligent la planète, tels que "les inégalités, la faim, la pauvreté, la crise migratoire, le chômage", entre autres.
Selon Evo Morales, "tout est commercialisé pour permettre l'accumulation du capital" et le monde est contrôlé par une oligarchie mondiale, composée seulement d'une poignée de milliardaires.
"C'est injuste, immorale et inadmissible" le fait que 26 personnes dans le monde disposent de la même richesse que 3,8 milliards de personnes.
"Disons-le très clairement: le capitalisme est à l'origine du problème" déclare le président bolivien dans son discours à la 74ème Assemblée générale des Nations Unies, qui a débuté ses travaux mardi.
Il explique que "le problème sous-jacent réside dans le modèle de production et de consommation, dans la propriété des ressources naturelles et dans la distribution inégale de la richesse". Le président évoque les problèmes qui affligent la planète, tels que "les inégalités, la faim, la pauvreté, la crise migratoire, le chômage", entre autres.
Selon Evo Morales, "tout est commercialisé pour permettre l'accumulation du capital" et le monde est contrôlé par une oligarchie mondiale, composée seulement d'une poignée de milliardaires.
"C'est injuste, immorale et inadmissible" le fait que 26 personnes dans le monde disposent de la même richesse que 3,8 milliards de personnes.