Soutien des communistes pour l'AFPA
Nicolas Maury
Alors que l'Assemblée nationale examinait le projet de loi de finances 2009, les salariés des centres Afpa (association de formation professionnelle pour adultes) manifestaient afin d'alerter la population sur la baisse prévue de 10% du budget consacré à la formation des adultes
À Istres, la grève intersyndicale a été largement suivie par le personnel du centre de formation et du service d'orientation. Maxime GREMETZ, Député de la Somme, qui au nom de son groupe communiste à l’Assemblée Nationale :
«C’est un budget en baisse alors que le chômage reprend de plus belle malgré les promesses de Monsieur SARKOZY. C’est un budget d’austérité renforcée avec les 370 milliards mis à la disposition des banquiers. Nous le combattons, remettant en cause le code du travail et proposant la retraite à 70 ans. Il a notamment souligné la nécessité de défendre l’AFPA, ce service public de la formation professionnelle où le Gouvernement prévoit un plan de mille suppressions d’emplois. L’AFPA a défini ce qui ressemble fort à un plan social, avec près de 1000 suppressions d’emplois. Le compte rendu d’un séminaire de juin évoque le « potentiel départ à 60 ans à 2013 » de « 1177 personnes physiques ». Les 850 psychologues de l’AFPA sont particulièrement visés. Par ailleurs, les syndicats redoutent à juste titre un démantèlement des structures d’hébergement et de restauration. Ces mesures auraient pour conséquence certaine l’augmentation des coûts de formation pour les stagiaires. C’est inacceptable !
«C’est un budget en baisse alors que le chômage reprend de plus belle malgré les promesses de Monsieur SARKOZY. C’est un budget d’austérité renforcée avec les 370 milliards mis à la disposition des banquiers. Nous le combattons, remettant en cause le code du travail et proposant la retraite à 70 ans. Il a notamment souligné la nécessité de défendre l’AFPA, ce service public de la formation professionnelle où le Gouvernement prévoit un plan de mille suppressions d’emplois. L’AFPA a défini ce qui ressemble fort à un plan social, avec près de 1000 suppressions d’emplois. Le compte rendu d’un séminaire de juin évoque le « potentiel départ à 60 ans à 2013 » de « 1177 personnes physiques ». Les 850 psychologues de l’AFPA sont particulièrement visés. Par ailleurs, les syndicats redoutent à juste titre un démantèlement des structures d’hébergement et de restauration. Ces mesures auraient pour conséquence certaine l’augmentation des coûts de formation pour les stagiaires. C’est inacceptable !