Tángana en el trillo : "Pour la défense de la démocratie socialiste"
Perspective communiste
Le mouvement San isidro, piloté depuis l'ambassade des Etats-Unis à Cuba, aura permis deux choses :
- Mettre en échec la tentative des Etats-Unis de renverser le socialisme à Cuba avant que Trump ne rende les clefs de la Maison Blanche.
- Souder la jeunesse cubaine autour des valeurs de la révolution et du socialisme.
Le président cubain Miguel Díaz-Canel Bermúdez s'est joint à la contre-manifestation Tángana en el trillo organisée par des artistes et des jeunes pour la défense de la démocratie socialiste.
Traduction Nico Maury
De jeunes artistes et intellectuels cubains ont organisé un rassemblement de concerts sous le titre Tángana en el trillo, pour la défense de la démocratie socialiste.
Selon l'appel, le rendez-vous a commencé à 16h00, heure locale, dans le respect des mesures d'hygiène et d'hygiène pour se prémunir du Covid-19.
Le président cubain Miguel Díaz-Canel Bermúdez s'est joint à la réunion. "Je n'allais pas venir pour ne pas arrêter la spontanéité, mais en voyant les images je ne pouvais pas, je ne pouvais pas contenir l'émotion", a déclaré le président.
Les gens lui ont dit: Nous sommes avec vous, Díaz Canel.
Et il a répondu: "Je suis avec vous, je devais être ici, avec la jeunesse de mon pays."
Les jeunes qui partagent cette citation à travers leurs réseaux sociaux l'accompagnent de commentaires en faveur de la révolution cubaine et contre la manipulation médiatique.
Le concert a lieu à un moment où des intellectuels de l'île dénoncent l'exécution d'une campagne de manipulation médiatique contre Cuba, dans le cadre d'un scénario d'un coup d'État en douceur avec un financement des États-Unis à des groupes subversifs tels que le soi-disant mouvement San Isidro.
Selon l'appel, le rendez-vous a commencé à 16h00, heure locale, dans le respect des mesures d'hygiène et d'hygiène pour se prémunir du Covid-19.
Le président cubain Miguel Díaz-Canel Bermúdez s'est joint à la réunion. "Je n'allais pas venir pour ne pas arrêter la spontanéité, mais en voyant les images je ne pouvais pas, je ne pouvais pas contenir l'émotion", a déclaré le président.
Les gens lui ont dit: Nous sommes avec vous, Díaz Canel.
Et il a répondu: "Je suis avec vous, je devais être ici, avec la jeunesse de mon pays."
Les jeunes qui partagent cette citation à travers leurs réseaux sociaux l'accompagnent de commentaires en faveur de la révolution cubaine et contre la manipulation médiatique.
Le concert a lieu à un moment où des intellectuels de l'île dénoncent l'exécution d'une campagne de manipulation médiatique contre Cuba, dans le cadre d'un scénario d'un coup d'État en douceur avec un financement des États-Unis à des groupes subversifs tels que le soi-disant mouvement San Isidro.
"L'émotion ne rentrait pas dans ma poitrine et je devais venir ici. Certains m'ont conseillé de ne pas venir pour que la spontanéité de cette manifestation ne soit pas manipulée", a déclaré le président.
Ce à quoi il a ajouté, "cela se répétera sûrement, car les plans contre la Révolution se poursuivent". "Ils pensaient pouvoir détruire la Révolution avant la fin de l'administration Trump, mais ils ont échoué" a-t-il déclaré.
"Ici, il y a un espace de dialogue pour le socialisme et pour la Révolution. Dialogue pour améliorer et perfectionner toujours le socialisme", a-t-il dit.
À un autre moment, il a souligné que "bien que j'ai des cheveux gris, je suis aussi jeune et j'ai le droit d'être ici. Je suis ici avec la jeunesse de mon pays".
Photos et reportage sur Juventud Rebelde, journal de l'Union des Jeunes Communistes