Le texte justifie cette décision par une nouvelle réorganisation de la programmation de l'entité et que, par conséquent, les conditions générales du signal multiplateforme sont closes.

La lettre signée par le responsable national de la clientèle, Ronny Arrien, nommé par le gouvernement putschiste, signalait que l'équipement utilisé pour recevoir son signal sur le territoire bolivien était disponible pour être récupéré aux installations d'Entel.

De son côté, la présidente de Telesur, Patricia Villegas, via le réseau social Twitter, a déclaré qu'avant la notification de la clôture du contrat envoyée jeudi par Entel, il avait expliqué que le signal posait des problèmes techniques.

À cet égard, le plus haut représentant de la chaîne a déclaré qu'il était évident que les autorités putschistes boliviennes entendaient imposer une censure généralisée aux médias, qui montreraient au monde la réalité de ce qui se passe depuis le 10 novembre, date à laquelle le coup d'État contre Evo Morales a été déclenché.

"Entel Bolivia justifie la sortie de teleSURtv pour "la réorganisation du réseau " et des problèmes techniques. De toute évidence, la censure n'accepte pas les contradictions. Nous continuerons à informer et à tenir notre engagement", écrit Villegas sur twitter.

Après le coup d'État de droite, plusieurs médias et journalistes, nationaux et étrangers, ont été soumis à la répression et à des violences avec la police et les forces armées, parce qu'ils avaient tenté de rendre compte de la situation déstabilisatrice en Bolivie.

Prense Latina