Ukraine : "L'Ere des communistes n'a pas pris fin" (Simonenko - KPU)
Perspective communiste
Réaction de Petro Simonenko, Premier secrétaire du Parti Communiste d'Ukraine (KPU), aux résultats préliminaires et à la déclaration de Porochenko qui salue la disparition des communistes à la Rada - traduction Nico Maury
"L'ère des communistes n'a pas pris fin" déclare le chef du Parti communiste Petro Simonenko, en commentant les résultats préliminaires des élections législatives.
"La campagne électorale c'est déroulée dans un climat de lutte contre l'opposition, le nouveau gouvernement a lancé une campagne pour obtenir l'interdiction de ces forces politiques et de l'idéologie communiste. Ils ont utilisé toutes les ressources administratives pour aller dans ce sens".
"Je ne dirais pas que l'ère communiste a pris fin. Beaucoup de politiciens se hâtent de déclarer cela, mais ils oublient que le Parti continue ses activités. En outre, nous sommes prêt à aller devant le Parlement et à ouvertement manifester les idées du Parti communiste".
Selon Petro Simonenko, les résultats du Parti communiste sont aussi marqué par le faible taux de participation. "Je pense que nos électeurs ont été intimidés au cours de la campagne". De plus se sont 650.000 électeurs de 2012 qui n'ont pas pu s'exprimé car sortis de l'Ukraine (Crimée, DNR, LNR)
"La campagne électorale c'est déroulée dans un climat de lutte contre l'opposition, le nouveau gouvernement a lancé une campagne pour obtenir l'interdiction de ces forces politiques et de l'idéologie communiste. Ils ont utilisé toutes les ressources administratives pour aller dans ce sens".
"Je ne dirais pas que l'ère communiste a pris fin. Beaucoup de politiciens se hâtent de déclarer cela, mais ils oublient que le Parti continue ses activités. En outre, nous sommes prêt à aller devant le Parlement et à ouvertement manifester les idées du Parti communiste".
Selon Petro Simonenko, les résultats du Parti communiste sont aussi marqué par le faible taux de participation. "Je pense que nos électeurs ont été intimidés au cours de la campagne". De plus se sont 650.000 électeurs de 2012 qui n'ont pas pu s'exprimé car sortis de l'Ukraine (Crimée, DNR, LNR)