Ce congrès avait une portée symbolique puisqu'il s'agissait du XXXVIème congrès du successeur direct des Komsomols soviétiques dont les 90 ans avaient été fêté dignement a travers les républiques de l'ex-URSS.

Près de 200 jeunes ont assisté au congrès de la LKSMU. Ce congrès c'est tenu en présence des hauts responsables du Parti Communiste (KPU) et de Piotr Symonenko (Secrétaire Général du KPU). Dans un pays ou la liberté d'expression est contrôlée par les oligarques et leurs journaux, dans un pays ou le nationalisme étend ses tentacules, les jeunesses communistes ont proposé de soutenir Piotr Symonenko pour les présidentielles.

Les travaux du congrès ont porté sur la constitution d'un "front de gauche" (trad exacte du texte) afin de rassembler les organisations de jeunesses de gauche dans un bloc afin de soutenir l'actions des organisations communistes contre le gouvernement en place.

Ce même jour le congrès a décidé de mettre en action une fédération qui vise a regrouper les organisations communistes de jeunesses de l'ancienne Union Soviétique, la SKO-Komsomol. Cette organisation reconnue internationalement (UNESCO) regroupe aujourd'hui des délégués venus de Russie, d'Arménie, de Géorgie, d'Azerbaïdjan, de Moldavie, et de Transnistrie