Une parade militaire et un défilé populaire saluent le 50e anniversaire de la Victoire de la Baie des Cochons
Nicolas Maury
Des centaines de milliers de Cubains ont participé ce 16 avril, sur la place de la Révolution, de La Havane à une parade militaire et à un défilé populaire, présidés par Raul Castro, à l’occasion du 50e anniversaire de la proclamation du caractère socialiste de la Révolution Cubaine et de la victoire sur l’invasion de la Baie des Cochons sous la direction du Commandant en Chef Fidel Castro
Des enfants, des jeunes et d’anciens combattants ont effectué un parcours symbolique qui rappelait nos épopées historiques et qui a précédé le défilé de troupes et de moyens de combat qui a été couronné par une marche de la population de La Havane.
Un bloc gigantesque formé de dizaines de milliers de jeunes a clos le défilé comme un symbole des nouvelles générations de Cubains et comme garantie de la continuité de la Révolution.
Les délégués au 6e Congrès du Parti Communiste de Cuba, qui s’ouvre dans quelques heures, ont également assisté à ce défilé populaire.
Prenant la parole avant la parade militaire et le défilé populaire, Maidel Goméz Lago, présidente de la Fédération des Étudiants a indiqué.
« Ce peuple peut raconter et évaluer son histoire. Il peut lire et écrire sur ces prouesses. Cela est possible car nous avons semé des écoles, semées comme des graines par les centaines de milliers d’adolescents et de jeunes qui, le manuel à la main, ont alphabétisé plus de 700 000 Cubains en 1961 année à laquelle les mercenaires étaient mis en déroute.
La Victoire de la Baie des Cochons a démontré que c’est le peuple en uniforme qui rend une armée invincible. C’est pourquoi, dans cette cérémonie, nos troupes de jeunes soldats et membres des milices révolutionnaires rendront, avec leurs pas martiaux et émouvants, un hommage aux milliers de combattants qui, tout au long de notre pays, veillent à la tranquillité du peuple.
La jeunesse est consciente de son engagement envers l’histoire, c’est-à-dire, de la responsabilité qui retombe sur nous et de tout ce que l’on attend de cette génération et des générations futures en leur qualité de continuatrices de l’œuvre pour laquelle beaucoup de bons Cubains ont su vivre et mourir. Pour nous, il ne s’agit pas de simples mots d’ordre ou de mots vides de sens. Il s’agit de faire à chaque moment ce qui sera nécessaire, unis de façon indissoluble avec le Parti et sans oublier jamais que cette Révolution sera toujours des humbles, pour les humbles et par les humbles, comme l’a signalé Fidel Castro cela fait 50 ans, jour pour jour ».
Un bloc gigantesque formé de dizaines de milliers de jeunes a clos le défilé comme un symbole des nouvelles générations de Cubains et comme garantie de la continuité de la Révolution.
Les délégués au 6e Congrès du Parti Communiste de Cuba, qui s’ouvre dans quelques heures, ont également assisté à ce défilé populaire.
Prenant la parole avant la parade militaire et le défilé populaire, Maidel Goméz Lago, présidente de la Fédération des Étudiants a indiqué.
« Ce peuple peut raconter et évaluer son histoire. Il peut lire et écrire sur ces prouesses. Cela est possible car nous avons semé des écoles, semées comme des graines par les centaines de milliers d’adolescents et de jeunes qui, le manuel à la main, ont alphabétisé plus de 700 000 Cubains en 1961 année à laquelle les mercenaires étaient mis en déroute.
La Victoire de la Baie des Cochons a démontré que c’est le peuple en uniforme qui rend une armée invincible. C’est pourquoi, dans cette cérémonie, nos troupes de jeunes soldats et membres des milices révolutionnaires rendront, avec leurs pas martiaux et émouvants, un hommage aux milliers de combattants qui, tout au long de notre pays, veillent à la tranquillité du peuple.
La jeunesse est consciente de son engagement envers l’histoire, c’est-à-dire, de la responsabilité qui retombe sur nous et de tout ce que l’on attend de cette génération et des générations futures en leur qualité de continuatrices de l’œuvre pour laquelle beaucoup de bons Cubains ont su vivre et mourir. Pour nous, il ne s’agit pas de simples mots d’ordre ou de mots vides de sens. Il s’agit de faire à chaque moment ce qui sera nécessaire, unis de façon indissoluble avec le Parti et sans oublier jamais que cette Révolution sera toujours des humbles, pour les humbles et par les humbles, comme l’a signalé Fidel Castro cela fait 50 ans, jour pour jour ».