Usine Fralib : communiqué de Pierre Dharréville Secrétaire départemental du PCF 13
Perspective communiste
La profitabilité de l’usine Fralib a de nouveau été établie par un rapport d’experts. Je me félicite que l’ensemble des collectivités locales soient mobilisées ce matin à partir de ce constat pour marquer leur engagement au côté des salariés qui se battent pour l’avenir industriel du site. Il devra être durable.
Lorsque des salariés se mobilisent avec autant de conviction et d’énergie pour défendre leur outil de travail, cela mérite le respect et doit imposer un engagement à la hauteur de la part de l’ensemble des pouvoirs publics à défaut de celui des actionnaires…
A Fralib, c’est une fois de plus la gloutonnerie des actionnaires, et la voracité des spéculateurs qui essaye de prendre le dessus. Le rapport d’expertise démontre comment le déclin du site a été progressivement organisé par la direction. On a volé chaque mois dans le portemonnaie des salariés, et c’est maintenant le portemonnaie lui-même que l’on voudrait voler.
La marque Éléphant, l’usine et le savoir-faire n’appartiennent pas aux actionnaires, ils appartiennent aux salariés ils appartiennent à la population. L’Éléphant est à nous ! Un grand mouvement citoyen doit maintenant prendre de l’ampleur, et interpeller massivement la direction de la multinationale Unilever comme l’État pour demander la mise en œuvre concrète pour Fralib des moyens capables de déployer une véritable ambition industrielle durable.
Mais au-delà, la situation de Fralib pose la question de changer profondément le système et de changer la loi. Si elle permet cela, c’est qu’elle n’est pas bonne. La gauche devra se montrer à la hauteur des aspirations des salariés de Fralib, c’est l’ambition que portent les communistes avec le Front de gauche.
Lorsque des salariés se mobilisent avec autant de conviction et d’énergie pour défendre leur outil de travail, cela mérite le respect et doit imposer un engagement à la hauteur de la part de l’ensemble des pouvoirs publics à défaut de celui des actionnaires…
A Fralib, c’est une fois de plus la gloutonnerie des actionnaires, et la voracité des spéculateurs qui essaye de prendre le dessus. Le rapport d’expertise démontre comment le déclin du site a été progressivement organisé par la direction. On a volé chaque mois dans le portemonnaie des salariés, et c’est maintenant le portemonnaie lui-même que l’on voudrait voler.
La marque Éléphant, l’usine et le savoir-faire n’appartiennent pas aux actionnaires, ils appartiennent aux salariés ils appartiennent à la population. L’Éléphant est à nous ! Un grand mouvement citoyen doit maintenant prendre de l’ampleur, et interpeller massivement la direction de la multinationale Unilever comme l’État pour demander la mise en œuvre concrète pour Fralib des moyens capables de déployer une véritable ambition industrielle durable.
Mais au-delà, la situation de Fralib pose la question de changer profondément le système et de changer la loi. Si elle permet cela, c’est qu’elle n’est pas bonne. La gauche devra se montrer à la hauteur des aspirations des salariés de Fralib, c’est l’ambition que portent les communistes avec le Front de gauche.
