Venezuela : L'opposition assassine les militants révolutionnaires
Perspective communiste
La violence développée par des groupes fascistes de la droite nationale a occasionné le mort ce mercredi d'un leader révolutionnaire du 23 Janvier, connu sous le nom de Juancho, a dénoncé le président de l'Assemblée Nationale (AN), Diosdado Cabello
« Il a été ignoblement assassiné par le fascisme. Ceci est douloureux pour nous parce que nous avons vu tomber des camarades pendant ces 15 ans. Ce camarade, ils le chassaient et nous n'avons aucun doute. C'était un leader de la Révolution et des collectifs du 23 Janvier. Ils ne vont pas arriver à nous démobiliser », a-t-il déclaré dans une émission transmise par Venezolana de Television lors de la session solennelle du Parlement à La Victoire, état d'Aragua.
En ce sens, Cabello a exhorté les collectifs de la paroisse de Caracas 23 Janvier à rester calmes et à faire confiance à la justice vénézuélienne, ainsi qu'au Gouvernement Bolivarien, devant ce qu'il a qualifié de « provocation de la droite ».
« Jusqu'à quand le fascisme ? Jusqu'à quand ces assassins fascistes qui appellent à la violence ? Jusqu'à quand nous, allons-nous continuer à admettre les morts ? Ce sont des assassins, ils sont fascistes et après ils vont se cacher sous les jupes de l'empire nord-américain, ils ne pardonnent jamais », a-t-il déclaré.
De la même façon, il a rappelé que cette vague de violence a déjà ses antécédents récents avec l'attaque de la famille du gouverneur de Tachira, José Vielma Mora, il y a quelques jours, ainsi que la persécution de leaders communautaires.
« Ils ne vont pas nous faire sortir du chemin de la paix mais nous n'allons pas trembler non plus parce que la loi s'impose, qu'on l'appelle comme on voudra et quoi qu'ils fassent.
(traduction Françoise Lopez)
http://cubasifranceprovence.over-blog.com/2014/02/venezuela-un-memebre-du-collectif-revolutionnaire-assassine-par-des-violences-fascistes-a-caracas.html
En ce sens, Cabello a exhorté les collectifs de la paroisse de Caracas 23 Janvier à rester calmes et à faire confiance à la justice vénézuélienne, ainsi qu'au Gouvernement Bolivarien, devant ce qu'il a qualifié de « provocation de la droite ».
« Jusqu'à quand le fascisme ? Jusqu'à quand ces assassins fascistes qui appellent à la violence ? Jusqu'à quand nous, allons-nous continuer à admettre les morts ? Ce sont des assassins, ils sont fascistes et après ils vont se cacher sous les jupes de l'empire nord-américain, ils ne pardonnent jamais », a-t-il déclaré.
De la même façon, il a rappelé que cette vague de violence a déjà ses antécédents récents avec l'attaque de la famille du gouverneur de Tachira, José Vielma Mora, il y a quelques jours, ainsi que la persécution de leaders communautaires.
« Ils ne vont pas nous faire sortir du chemin de la paix mais nous n'allons pas trembler non plus parce que la loi s'impose, qu'on l'appelle comme on voudra et quoi qu'ils fassent.
(traduction Françoise Lopez)
http://cubasifranceprovence.over-blog.com/2014/02/venezuela-un-memebre-du-collectif-revolutionnaire-assassine-par-des-violences-fascistes-a-caracas.html