Vote du mariage pour tous : une première victoire, et nous en appelons d’autres !
Perspective communiste
Les jeunes et étudiants communistes se félicitent de l’adoption du mariage pour tous, après plusieurs mois de résonnance d’un refrain nauséabond, qui a servi de musique de fond à bien d’autres...
En effet, le débat est resté bloqué sur l’idée de « doit-on, oui ou non autoriser des homosexuels à avoir des enfants », comme si ça n’était pas le cas. Balayés d’un revers de la main comme s’ils n’existaient pas, ces quelques 14.000 foyers homoparentaux. Au lieu de prendre acte de cette réalité, et de vouloir agir pour rattacher l’ensemble de ces parents aux socles de droits et responsabilités auprès de leurs enfants, ce qui va dans le sens d’une meilleure protection, on leur a dit qu’ils étaient voués à être des dégénérés. Mais alors, que dire des familles monoparentales ? Que dire de cette vague de violences que la droite légitime, cette violence permise par une porte-parole qui promet des « bains de sang » ? Que le parlement amnistie des syndicalistes tombés sous le coup de la loi parce qu’ils défendaient leur emploi ou leurs conditions de travail, et l’on s’offusque, mais qu’on passe des homosexuels à tabac et là on comprend, on légitime.
Les organisateurs des soi-disant « manif pour tous » se présentent comme les défenseurs des chômeurs, mais en avons-nous jamais vus, nous qui soutenons quotidiennement les salariés tombés sous le coup des licenciements boursiers ? Force est de constater que loin de défendre les travailleurs, ils ont allègrement participé à ce que la loi de régression sociale imposée par le MEDEF soit passée sous silence. Ils prétendent lutter contre des lobbys aveuglés, mais que dire de certains de leurs enfants qui prennent contact avec des associations de défense des homosexuels alors qu’ils sont traînés de force à ses manifestations ? Comment imaginer un dialogue familial apaisé dans un tel contexte ? Ce ne sont pas les défenseurs d’opprimés, mais au contraire les garants d’un ordre social bien établi, un ordre social de divisions et d’exclusions.
Ce qui arrive ces jours-ci, c’est une première victoire, et les jeunes communistes en appellent d’autres, pour le droit à l’adoption, à la PMA, et pour franchir de nouveaux caps. Nous invitons tous les jeunes qui le souhaitent à s’investir pour l’unité de notre camp social dans le cadre de fronts collectifs, et pour gagner de nouvelles conquêtes, loin des passages à tabac et mensonges odieux, au plus près de l’égalité.
En effet, le débat est resté bloqué sur l’idée de « doit-on, oui ou non autoriser des homosexuels à avoir des enfants », comme si ça n’était pas le cas. Balayés d’un revers de la main comme s’ils n’existaient pas, ces quelques 14.000 foyers homoparentaux. Au lieu de prendre acte de cette réalité, et de vouloir agir pour rattacher l’ensemble de ces parents aux socles de droits et responsabilités auprès de leurs enfants, ce qui va dans le sens d’une meilleure protection, on leur a dit qu’ils étaient voués à être des dégénérés. Mais alors, que dire des familles monoparentales ? Que dire de cette vague de violences que la droite légitime, cette violence permise par une porte-parole qui promet des « bains de sang » ? Que le parlement amnistie des syndicalistes tombés sous le coup de la loi parce qu’ils défendaient leur emploi ou leurs conditions de travail, et l’on s’offusque, mais qu’on passe des homosexuels à tabac et là on comprend, on légitime.
Les organisateurs des soi-disant « manif pour tous » se présentent comme les défenseurs des chômeurs, mais en avons-nous jamais vus, nous qui soutenons quotidiennement les salariés tombés sous le coup des licenciements boursiers ? Force est de constater que loin de défendre les travailleurs, ils ont allègrement participé à ce que la loi de régression sociale imposée par le MEDEF soit passée sous silence. Ils prétendent lutter contre des lobbys aveuglés, mais que dire de certains de leurs enfants qui prennent contact avec des associations de défense des homosexuels alors qu’ils sont traînés de force à ses manifestations ? Comment imaginer un dialogue familial apaisé dans un tel contexte ? Ce ne sont pas les défenseurs d’opprimés, mais au contraire les garants d’un ordre social bien établi, un ordre social de divisions et d’exclusions.
Ce qui arrive ces jours-ci, c’est une première victoire, et les jeunes communistes en appellent d’autres, pour le droit à l’adoption, à la PMA, et pour franchir de nouveaux caps. Nous invitons tous les jeunes qui le souhaitent à s’investir pour l’unité de notre camp social dans le cadre de fronts collectifs, et pour gagner de nouvelles conquêtes, loin des passages à tabac et mensonges odieux, au plus près de l’égalité.