Sa mère a aimé un monstre

Rédigé le 16/10/2007 à 22:11

C'est ce que déclarait Samuel Benchetrit sur Europe 1, ce 16 octobre, jour de la libération conditionnelle de Bertrand Cantat. Il parlait de son fils, orphelin de Marie Trintignant. La justice, c'est ce que je ressens moi, a-t-il ajouté.


Si Bertrand Cantat ne peut et ne veut parler de ce terrible drame, est-il juste qu'il soit lui-même interpellé sans cesse dans les medais par les jugements ou insultes des uns et des autres?
On s'approche à grands pas d'une justice utilisée par les uns et les autres comme instrument de vengeance;

Résumé, avec Edicom, de la déclaration de Samuel Benchetrit sur Europe 1:

Le réalisateur Samuel Benchetrit, qui a été l'époux de Marie Trintignant, a estimé mardi sur Europe 1, à propos de Bertrand Cantat en libération conditionnelle, que "quatre ans, ce n'est pas beaucoup quand il y a des mecs qui trafiquent du +shit+ et qui en prennent six".

"J'ai du mal à expliquer ça", a-t-il déclaré, tout en estimant que "la remise de peine, c'est pour tout le monde, c'est normal".

"Il y a des matins où j'aimerais mettre une trempe à ce +mec+. Et d'autres matins où je me dis qu'il est en +taule+ et c'est terrible pour tout le monde", a ajouté Samuel Benchetrit, père du plus jeune fils de Marie Trintignant.

"Ce qui est chiant surtout, c'est d'entendre parler de ce mec..."

Lire la suite sur Edicom.ch, rubrique People.
16/10/2007 22:11 | Editoweb Magazine | Commentaires (0)