Le Président du mouvement Tekki Mamadou Lamine Diallo est revenu dans sa traditionnelle question hebdomadaire pour interpeller le Président de la République sur la question de la transparence et de la bonne Gouvernance dans la gestion des ressources publiques. L’opposant fustige le Cos Pétro-Gaz, évoque l’endettement et dénonce l’incapacité de la société étrangère IRIS d’atteindre ses objectifs.
Depuis le mois d’Aout 2016, toutes les semaines, le leader du mouvement Tekki en l’occurrence Mamadou Lamine Diallo interpelle le Chef de l’Etat sur les questions brûlantes de l’actualité économique. Il invite Macky Sall à un débat pour éclairer la lanterne des Sénégalais sur certaines questions qui taraudent les citoyens. « Ce que ne comprend pas le Président Macky Sall ; c’est l’avancée démocratique et citoyenne du Séné- gal avec ses exigences d’information vraie, de transparence et de contrôle de l’action publique » assène Mamadou Lamine Diallo. Son mouvement ne tolère pas la manipulation et exige la transparence dans la Gouvernance du pétrole et du Gaz et de l’endettement du pays. Le Président de Tekki parle du Cos PétroGaz et demande au Collectif pour le recouvrement des Avoirs pétroliers et miniers de s’intéresser à cet organe mis en place par le Président de la République Macky Sall. Dans cette nouvelle question, Mamadou Lamine Diallo alerte sur la situation de l’endettement et déclare « L’endettement de l’Etat est à surveiller de près.
Les politiques d’ajustement structurel des années 80 et la dévaluation du FCFA en 1994 résultent de l’endettement de l’Etat ». Le député à l’Assemblée Nationale défie le ministre de l’économie et des Finances et qui a déclaré que le Franc CFA plus d’avantages que d’inconvénients. Il demande au ministre de dire aux sénégalais les inconvénients sur le Franc CFA. Concernant la société IRIS qui a gagné le marché de confection des cartes d’identité biométriques, le Pré- sident s’interroge « L’endettement de l’Etat est à surveiller de près. Les politiques d’ajustement structurel des années 80 et la dévaluation du FCFA en 1994 résultent de l’endettement de l’Etat » ?